Le cinéma de Contis

 

Dans ce cinéma « pas comme les autres » Betty Berr, comédienne, et Rainer , scénographe, ont conçu en 1996, un projet artistique d'une dimension internationale à Contis Plage dans les Landes...

En effet depuis 1996 se déroule durant cinq jours à Contis, tous les ans, un festival du Court Métrage... Riche de sa diversité culturelle, ce festival a pour partenaires Atibaia Internacional do Audiovisual (Brésil) et le Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou...

Absolument rien à voir avec le festival de Cannes ! Mais tout de même le soutien du Conseil Général des Landes, de la Région Aquitaine, de la DRAC Aquitaine, du Centre National de la Cinématographie, de Ciné +.

...entre autres, dont bien sûr la commune de Saint Julien en Born...

Le cinéma de Contis et son festival du Court Métrage : une étape « pas comme les autres » dans un parcours culturel tout rayonnant de ses mille visages et ouvert à tous...

 

Devant le hall d'entrée du cinéma : la terrasse côté rue des Avocettes.

Ce jeudi 15 septembre 2011 à 18h au cocktail d'ouverture du festival, sont conviés les spectateurs et les invités, avec les réalisateurs... Un moment pour se retrouver ou faire connaissance...

 

Sur la plage de Contis le jeudi 15 septembre 2011 vers 15h 30 : 34° dans l'air et 21° dans l'eau...

 

A l'entrée de la plage...

 

L'estrade, dans le hall du cinéma, pour les musiciens : trois concerts étaient prévus en fin de soirée à partir de 23h, chaque jour (gratuits) :

Akale Wube, Frank Dadure and the Fakir, Quartett Joao Silveira...

 

C'est le moment où arrivent peu à peu les réalisateurs, les invités, le public...

 

Vue depuis la terrasse située de l'autre côté du cinéma...

 

Vers 19h il y avait foule un peu partout, sur les terrasses et dans le hall... Belle et sympathique animation !

 

... Mon commentaire portant sur l'ensemble de la programmation :

 

Nous étions là en 2011, dans une nouvelle génération de jeunes (ou moins jeunes) réalisateurs : ce n'est pas tout à fait « la même veine » (si je puis dire) que celle des années 1996-2001...

Sans doute dans les scénarios, moins d'homogénéïté, plus de dispersion et de scènes « éclatées » dont le fil n'est pas continu, mais plus d'intensité, notamment dans une dimension de réflexion, de gravité et aussi d'humour...

Il n'a pas été facile de choisir les lauréats lors du prix du public, et des autres prix attribués...

Il faut, assurément, « aller voir »... Nous ne sommes pas, avec ces nouvelles générations de réalisateurs, dans la « dimension grand public des salles habituelles de cinéma de production de masse »...

 

 

 

 

 

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