Articles de yugcib

  • Un rêve bizarre ce matin vers 4h, mardi 24 décembre 2024

    … Je devais me rendre en consultation chez un médecin généraliste et c’était la première fois puisque mon médecin habituel venait récemment de cesser son activité. J’avais dû chez ce nouveau médecin prendre rendez-vous 2 mois à l’avance, alors que chez le précédent, je m’y rendais sans rendez-vous aux heures de consultations et attendant mon tour dans la salle d’attente…

     

    J’avais l’adresse exacte et officielle, répertoriée et mise à jour afin de me rendre chez le nouveau médecin ; le cabinet de consultation étant situé dans une « ZAC » entourée d’immeubles, en périphérie de la ville où je demeurais dans un quartier éloigné du centre et à l’opposé de cette « ZAC » périphérique…

     

    Pour accéder à cette « ZAC » il fallait emprunter une ceinture périphérique à 4 voies, très passante et avec embouteillages fréquents, sortir à tel endroit (la sortie 42), suivre la bretelle de sortie jusqu’à un premier rond point comportant 5 sorties, prendre la 4ème sortie, puis suivre une voie menant à un deuxième rond-point cette fois de 3 sorties mais avec en plus une autre sortie qui était en fait une « fausse sortie » c’est à dire une voie sur laquelle il y avait un peu plus loin des travaux en cours…

     

    Je disposais d’un GPS « Wase » sur smartphone en application, et arrivé à ce rond point de trois sorties avec en plus une « fausse », comme j’hésitais, craignant de prendre la « fausse » sortie, je décidai de faire – quitte à le faire 3 fois- le tour du rond-point…

     

    Le GPS disait à ce rond -point « prendre la 3 ème sortie » puis ensuite suivre la voie de gauche de l’avenue « machin » (un nom compliqué de général que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam) et au bout de l’avenue prendre sur la gauche la rue « machin chose » (cette fois le nom d’un autre général), cette rue « machin chose » comportant 4 voies avec flèches sur la chaussée, de présélection ; suivre la deuxième voie de présélection soit la plus à gauche des deux de droite ; et enfin continuer tout droit pour atteindre votre destination…

     

    À environ – peut-être- 200 ou 300 mètres de l’adresse indiquée, après avoir contourné un centre commercial et son parking, puis encore « zigzagué » entre trois terrains vagues jonchés de gravats et de poutrelles métalliques tordues, débute enfin la rue dans laquelle se trouve le cabinet du médecin…

     

    Mais juste à l’entrée de cette rue se dresse bien visible et comme par défi un panneau « sens interdit », de telle sorte qu’il me faut garer la voiture en bordure du terrain vague et continuer à pied sur 300 mètres…

     

    Arrivé devant la porte d’entrée du cabinet du médecin, je vois, comme incrusté dans la porte, un écran de la taille d’une tablette androïd, avec une inscription qui apparaît sur l’écran « touchez moi »… Je touche l’écran, et je vois apparaître « inscrivez les 4 premières lettres de votre nom » dans les 4 cases présentes…

    J’inscris donc… Mais la porte ne s’ouvre pas… Je recommence, une, deux trois fois… La porte ne s’ouvre toujours pas…

     

    Au bout de 10 minutes passe dans la rue une jeune femme qui se rend à une boutique de vêtements située à proximité du cabinet du médecin…

    Je lui demande pour le médecin, elle me dit qu’elle est la vendeuse de la boutique proche, et que le médecin exerce depuis la semaine dernière dans un nouveau cabinet dont elle m’indique l’adresse, dans un quartier de la ZAC « des coquelicots » (pas la même ZAC que celle présente)…

    Il me faudra donc, ayant « loupé » le rendez-vous, redemander un autre rendez-vous…

     

     

  • La fourmilière incendiée

    … S’il devait y avoir une Charia, une « Culture absolue », un Dogme tout puissant, une Religion ou une Morale « au dessus de tout ce qui existe en tant que telles, à savoir les autres religions et morales », un Modèle qui s’imposerait à tous, un « nouvel Ordre du Monde » plus équitable et indépendant des Systèmes évonomiques et politiques…

    Ce serait…

    La volonté déterminée et partagée entre tous, d’un bout à l’autre de la planète, de « foutre en l’air » toutes les propagandes et toutes les polémiques, et, de retouver le dialogue…

    Le dialogue, « l’Agora » en quelque sorte, qui, dans la Grèce antique, était une place publique où se réunissaient les citoyens pour échanger entre eux, des idées, des informations, se transmettre des savoirs, des connaissances, se donner des nouvelles des uns et des autres… Tout cela davantage que de débattre en vain, de se livrer à d’épuisantes polémiques (quoique cette disposition de relation propre à l’humain demeure intemporelle depuis l’origine des civilisations, et difficile à « foutre en l’air »)…

    Le dialogue donc, et l’Agora « version 21ème siècle » pour ainsi dire (puisqu’il y a internet et les réseaux sociaux en plus de la place publique pavée, dallée, de terre ou de ciment et entourée de terrasses de cafés), la relation… En dépit de tout ce qui nous oppose les uns et les autres, de tout ce qui nous différencie, nous isole, nous « communautarise », nous crispe, nous aveugle ou nous éblouit…

    La fourmilière incendiée, ou, pire encore, une sorte de résurrection des Tyranosaures du Jurassique dans le monde de l’Homo Numéricus, c’est ce qui nous attend, nous « pend au nez », enchaînés que nous sommes dans les fers qu’ont forgés les fabricants regroupés en guildes mais cependant amusés que nous sommes aussi, par les hochets distribués par les mêmes fabricants…

    Mais la « fourmilière incendiée » c’est peut-être – c’est même je le crois – comme un défi qui nous est lancé…

    Un défi lancé par cet « Être Monde Univers » dont l’intelligence et la mécanique surpassent l’entendement de l’Homo Numéricus…

    Il n’est pas sûr que nous soyons incapables de relever le défi…

    Le million de fourmis carbonisé dans l’incendie de la fourmilière provoqué par un gamin cruel qui a arrosé d’essence la fourmilière puis enflammé une allumette, a – en quelque sorte- « inspiré » - si l’on peut dire- les fourmis survivantes à reconstruire la fourmilière de manière à ce qu’elle soit beaucoup moins accessible au gamin cruel…

     

     

  • Écrire n'est pas un droit

    … Tout comme Philippe Sollers, écrivain Français né à Talence en Gironde le 28 novembre 1936 et mort à Paris le 5 mai 2023, je pense – et « cela ne date pas d’hier » - qu’écrire n’est pas un droit mais que la littérature a tous les pouvoirs (et donc tous les droits) ; je pense que Dieu est – mais n’existe pas (ce sont les religions qui existent) ; que le Diable n’est pas « le Malin » - comme l’entendent les catholiques, les protestants et les musulmans et les juifs – mais, à mon sens assurément les obscurantismes, la vulgarité, la bêtise, l’ignorance et l’hypocrisie ; je pense qu’un écrivain a « plusieurs vies » : une « vie sociale » (nécéssairement et même lorsqu’il se « retranche » - un temps parfois- du monde qui l’entoure), une vie « intime en lui » qu’il partage avec ses proches et amis – jusqu’à une certaine limite- ou ne partage avec personne (celle la plus vraiment intime) et que personne n’investira ou ne découvrira jamais, et, éventuellement une « vie officielle » (dans la mesure où l’écrivain est une personne reconnue, médiatisée – tant soit peu- dont les ouvrages sont publiés et paraissent en librairie)…

     

    Soit dit en passant, nous tous écrivains ou non, artistes ou non, du « commun des mortels » que nous sommes… Nous avons tous chacun « plusieurs vies » (en gros les mêmes que celles de l’écrivain, sauf que pour le non écrivain, c’est ce que l’on fabrique – objets utilitaires ou non- crée, imagine, façonne, travaille par soi-même, qui est produit afin d’être offert – ou vendu- à un public)…

     

    Écrire n’est pas un droit qui serait donné pour la seule et unique raison étant celle d’avoir envie d’écrire et -ou- de se prétendre être en capacité d’écrire…

    Et qu’est-ce que le droit d’écrire – décrété- est, vaut, se justifie, lorsque ce que l’on écrit n’est pas « en adéquation » avec son comportement, ses actes… C’est à dire lorsque ce que l’on écrit trompe, abuse, est imposture ?

    Et encore, qu’est ce que le droit d’écrire -décrété- et avec quel impact, quel « message transmissible » lorsque ce que l’on écrit – même avec conviction et sincérité vraies – est « à mille lieues de la réalité d’un drame humain » c’est à dire seulement du propos, de la bonne et louable intention et qui n’est donc pas « comme un coup de baguette magique » ?

     

    Dieu est mais n’existe pas … Ce sont les religions qui existent… « Dieu est » c’est – à mon sens- « quelque chose qui ressemble à Dieu » pouvant être « la grande et complexe mécanique de fonctionnement de l’univers et de tout ce qui est dans l’univers »…

     

    Les « plusieurs vies » de l’écrivain – et de chacun d’entre nous – sont des vies qui, toutes, l’intime, la sociale, l’officielle ; aussi libres et non affiliées à des « modèles » qu’elles soient ; aussi indépendantes d’esprit, aussi « étrangères ou opposées » qu’elles soient à l’« Ordre du Monde » … Sont DANS le monde (dans le monde tel qu’il est)…

    Ainsi, « si tu n’es pas du monde, tu es dans le monde » (c’est à dire que tu n’es pas sur une autre planète – de la Voie Lactée ou d’une autre galaxie)…

     

    Etre dans le monde aussi peu du monde que l’on soit, implique une « solidarité de l’espèce » (en l’occurrence l’espèce humaine)…

    Chez les non humains, il existe bien une « solidarité de l’espèce » qui induit la survie, la perpétuation de l’espèce dans les conditions les moins favorables…

     

     

     

  • Lire, de nos jours

    … Qu’ont fait Internet, Google, et les écrans, et la connectique, de nos jours, de la lecture ? Des lecteurs que nous sommes devenus, « surfant ou naviguant… Ou zappant » à toute vitesse, toujours pressés que nous sommes d’atteindre l’information qui nous intéresse, de saisir dans l’immédiat, la « clef » - si l’on peut dire- qui va nous ouvrir la porte de la connaissance – plus que du savoir – de ce que l’on cherche ?

     

    Il faut croire, cependant, que les tablettes, les liseuses, les « livres numériques », les documents au format PDF, pour autant de textes et d’images qui s’ouvrent à nos yeux, dont les « pages » se succèdent en touchant l’écran avec le doigt… S’ils ont bien réduit la lecture des journaux, des revues, des magazines imprimés et vendus en kiosque, dans les maisons de la presse ; ils demeurent – non pas forcément « concurrencés » - mais en vérité, « voisins » incontournables et toujours visités, des livres et ouvrages imprimés, de librairies, de bibliothèques… Pour encore de longues années devant nous, toutes générations confondues…

     

    Plus que les « nouvelles technologies » - de l’internet, du numérique, de la connectique et des bases de données, par elles-mêmes ; c’est sans doute la « mécanique » des « nouvelles technologies » qui « change notre rapport au monde, notre rapport à l’Autre, qui fait les lecteurs que nous sommes devenus… « Empêtrés, conditionnés, dépendants » des règles, des dispositions, en matière de sécurité, de contrôles automatisés, de formatage de nos besoins (et même de nos rêves), de « profilage » de nos personnalités désormais « sériées » et « canalisées », et utilisées à des fins qui nous échappent…

     

    Tant que demeureront encore vivants, les témoins de ce que fut le monde de la seconde moitié du 20ème siècle, ces témoins étant les personnes nées entre 1950 et 2000 ; ce monde de la seconde moitié du 20ème siècle ne sera pas si éloigné de celui des vivants de la première moitié du 21ème siècle.

     

    L’éloignement – certain et inéluctable- se fera progressivement, parce que les enfants et même encore les petits-enfants des gens de plus de 50 ans, né eux, après l’an 2000, auront eu connaissance de ce que leur ont raconté leurs parents et leurs grands-parents… Et que subsisteront toujours les livres, les documents d’Histoire, relatifs aux événements qui se sont produits, les films, les images, les témoignages et les récits, rédigés…

     

    Reste que, outre les lecteurs que nous devenons de nos jours et que nous serons dans plusieurs dizaines d’années, impactés, conditionnés, dans un « ordre du monde » de plus en plus technologiquement formaté ; les écrivains eux ausssi, tous les auteurs d’ouvrages, de romans, d’essais, de récits, de biographies, produiront leurs œuvres dans un environnement technologique, et de société, de plus en plus différent de celui dans lequel écrivaient les auteurs du 20ème siècle… Et, en conséquence le rapport entre l’écrivain et le lecteur sera différent… Ainsi que le rapport des lecteurs entre eux, et des écrivains entre eux…

     

    Lecteurs et écrivains quasiment tous, les uns et les autres, dépendants des écrans et de l’information diffusée en continu et immédiatement accessible, et s’exprimant, produisant sur « la Toile » (internet ou le « World Wide Web ») via des blogs ou des sites dont ils sont les auteurs avec leurs listes d’abonnés, leurs visiteurs…

     

    Et, si le « monde des livres » tel qu’il existe et existera encore, ainsi que le « monde des auteurs » produit – en ce qui concerne les livres, des œuvres « emblématiques » et en ce qui concerne les auteurs, des « monstres sacrés »…

    Une réalité nouvelle, invasive et qui en quelque sorte « nivelle », apparaît désormais, véhiculée par l’Internet via les réseaux sociaux, produisant « à l’infini » pour ainsi dire, des œuvres « qualitatives » (ou plus exactement « considérées qualitatives ») et des auteurs « plébiscités » ayant tous un « rayonnement » chacun…

    Alors que lire tant l’offre s’élargit à l’infini ? Et comment désormais, lire et en commençant par où et en quelle situation et selon quelle intuition, ou choix, volonté, influence subie… Et dans quelle culture ?

    Aussi paradoxal que cela paraisse, d’un côté s’ouvre un champ de savoirs et de connaissances quasi infini, tel qu’aucune société ou civilisation n’en avait connu durant des milliers d’années jusqu’à nos jours ; mais d’un autre côté, s’élargit un immense espace inconnu dont la dimension, la profondeur, tout ce qu’il y a d’invisible et de perdu dans l’immensité, et d’à jamais découvrable ne cessera de s’étendre…

     

     

  • L'Islam à Mayotte ...

    … Selon ce que je « crois savoir », ayant séjourné à Mayotte du 29 janvier au 25 février 2014…

    Est un Islam – on va dire- tel que celui de ces peuples de l’Afrique de l’Est – Mozambique et Tanzanie, et Comores, « modéré » et donc « assez différent » de l’Islam des pays du Sahel, d’Afrique du Nord (Algérie Tunisie) et d’Egypte ou du Soudan…

     

    À Mayotte les femmes et jeunes filles mahoraises de religion musulmane ne sont pas voilées, certaines portent un foulard de couleurs vives, sur leurs cheveux, le foulard ne couvrant pas les épaules ni le cou ni le haut de la poitrine…

    D’autres – en majorité- se « peignent le visage » (un peu comme à la manière des homo sapiens des temps du Paléolithique Supérieur, mais en couleurs claires)…

    Les mahorais musulmans hommes et femmes et jeunes personnes arrivant à l’âge adulte, ne consomment pas de boissons alcoolisées et ne fument pas ; leurs enfants dans les écoles disent bonjour et sont polis – du moins les enfants des Mahorais éduqués par leurs parents dans le respect des traditions, de l’autorité du père et de la mère, dans le sens des « valeurs »…

     

    Certes, dans certains villages plus ou moins situés à l’ouest de l’île ou dans le sud, l’on y rencontre un Islam – on va dire - « un peu plus fervent » (mais pas pour autant « radicalisé ») avec un « Cadi » en grande gandourah blanche et chéchia rouge, le « caïd » du village ayant autorité et présidant aux « offices » et cérémonies, mariages…

    Pour le mariage et avant le mariage la « fréquentation » entre garçons et filles est – il faut dire- « relativement influencée » par les familles du jeune homme et de la jeune fille (mais sans pour autant que le mariage soit forcément « arrangé » puisque la jeune fille ne se voit pas imposé – en principe- un mari contre son gré…

     

    Les fervents et croyants vont régulièrement à la mosquée. La « drague » et les « relations extra conjugales » chez les Mahorais musulmans, c’est pas « ce qu’il y a de courant » à Mayotte (rien à voir avec les autres Départements d’Outre Mer de créoles chrétiens d’origine où la « bagatelle » « fait partie de la culture locale)…

    Enfin, les hommes mahorais empreints de culture locale ancestrale, traditionelle et croyants, ce ne sont pas – mais pas du tout- ceux là que l’on voit, à chaque début de vacances scolaires ou à l’occasion de leurs congés, prendre place dans l’avion d’Air Austral ou d’Air Madagascar, afin de se rendre en « séjour sexuel » à Diégo Suarez (400 km de Mayotte, 20 minutes de vol) et s’offrir des jeunes filles malgaches de familles pauvres se prostituant…

     

    Et, « pour terminer » un « p’tit brin d’humour :

    Lors de la visite d’Emmanuel Macron à Mayotte avant les fêtes de Noël et après le passage dévastateur du cyclone Chido, dans la foule on n’a point vu de pancarte portant écrit à côté de « DE L’EAU »… « DES JOUJOUX »… (rire)… (Note : ce ne sont pas les gosses qui manquent à Mayotte!)…

     

     

  • Joujoux et bimbeloteries

    … Avec toutes ces dernières intempéries dont des inondations survenues après de fortes pluies et ayant endommagé de nombreuses habitations en France, en Espagne et dans d’autres pays d’Europe et du monde ; avec toutes ces réparations à effectuer, de toitures, d’intérieurs de maisons, le souci pour des milliers, des dizaines de milliers de personnes, de trouver des maçons, des menuisiers, des électriciens, des plombiers, des couvreurs, des artisans, des équipementiers en électro ménager et en aménagements intérieurs – tous des professionnels et des entreprises tellement sollicitées ne pouvant être partout à la fois et tardant à venir effectuer les travaux nécessaires – et avec les assureurs dont on attend désespérément les premières indemnisations…

     

    « J’imagine » que les gens concernés par tous ces dégâts causés à leur habitation, et ayant de jeunes enfants et adolescents, ne vont guère avoir pour préoccupation essentielle, en cette période de Noël Nouvel An, de « gâter en joujoux » leurs enfants, leurs petits-enfants…

    Et dire que des « papys et mamys » - au « coquet livret d’épargne il faut dire »- s’émerveillent encore plus que les petits-enfants dont certains sont encore des bébés, de la joie manifestée par leur petit enfant à la vue du « beau joujou » - un grand nounours ou grand pluto ou lapinou ou canardou avec des yeux aussi gros que des soucoupes volantes !…

    « Putain’d’joujoux » !

     

    Il y a « une certaine indécence » à considérer avec autant de préoccupation personnelle et de souhait de gâter les gosses », à être dans « l’hyper consommation au quotidien », de produits et de services non essentiels, pour son seul bon plaisir et confort et souci des apparences… En face de tous les drames humains proches ou lointains…

     

    « Putain’d’joujoux, putain’d’gâteaux, putain’d’jolis bibis de dame, putain’de bimbeloterie, de bijouteies, de jeux à la con, d’offre en promo pour des croisières ; putain’d’festivités pour la frime, pour la drague, sous le nez il faut dire des esseulés, des oubliés, des marginaux de la famille qu’on ne reçoit jamais et chez qui on va jamais ! Merde à tout ça !

     

    Ces bidonvilles – en « torchiottes »- de Mayotte… Que les « Pouvoirs Publics » souhaiteraient ne voir jamais « remis debout » et réaménagés comme ils étaient avant le cyclone Chido… Eh bien oui, les gens qui vivaient là dedans – tous ces illégaux et clandestins avec leurs gosses qui jouent avec de vieux pneus - déjà 4 jours après le passage du cyclone ils récupèrent les tôles et les bouts de bois pour essayer de se faire un abri et ils n’attendent pas que de « nouvelles dispositons » censées améliorer leur habitat soient prises !

     

    … Je vous invite, aux alentours du 15 janvier prochain, à regarder les poubelles autour de chez vous : au pied des containers d’ordures « ménagères » je vous parie… Des tonnes de joujoux cassés, du Noël de l’année d’avant, des nounours guillotinés, des locos et des totos sans roues, des dînettes déglinguées…

    Et je vous invite également – tout au long de l’année qui vient – à noter tous ces « vide maison », ces « vide greniers » en augmentation croissante partout dans notre pays…

    Et à observer combien de fois certains jours à la dechetterie du coin, il faut patienter derrière les cinq ou six bagnoles qui vous précèdent avec des remorques débordantes…

     

     

  • Ce que devrait être une journée de deuil national, autant en général qu'en l'occurrence pour Mayotte

     

     

    -Silence total sur tous les réseaux sociaux d’internet en ce sens que chacun, chacune d’entre nous, interrompe durant toute une journée, toute forme, expression de production purement personnelle du genre « le scoop du jour », sa « storie », son avis, son « baratin », ses « leçons de morale » et autres considérations, ses « discours » au sujet de ceci ou de cela…

     

    -Une sobriété maximum dans son alimentation, dans la manière de se vêtir, renoncer à tout artifice, tout superflu, durant cette journée.

     

    -Éviter de se rendre dans une galerie marchande de grande surface commerciale et de « faire du shopping » ou d’aller, en ville, de boutique en boutique, de vitrine en vitrine sans nécessité de se procurer quelque chose, rien que pour se distraire et « se laisser tenter » pour un achat superflu…

     

    -Absence totale de publicités, de promotions, d’annonces, de la part de toutes les grandes marques et enseignes, que ce soit dans les lieux publics, devant les magasins, dans les abris de bus, sur les devantures, au coin de la rue affiché sur un panneau, à l’entrée des ZAC et aux abords des villes.

     

    -Arrêt total – fermeture- des agences de voyage de tourisme, de croisières, de séjours de vacances quelque part, et gel sur internet de toute transaction d’achat, de toute offre de voyage d’agrément ; report pour un autre jour de tout départ en croisière ou de séjour de vacances.

     

    -D’une manière générale, faire de cette journée de deuil national, une journée de « non consommation totale » de tout ce qui n’est pas de première nécessité.

     

    -Et pour toute personne exerçant une activité, un emploi, dans le public comme dans le privé, en tant que salarié, gérant, employeur ou à son compte, apporter une contribution de solidarité équivalente à une journée de gain, que cette journée ait été travaillée ou non (si l’activité s’est arrêtée) … Et, pour tout retraité, une contribution également, de solidarité, équivalant à un trentième de la pension de retraite…

    « Il va sans dire » qu’en ce qui concerne les milliardaires, les géants de l’économie de marché tous secteurs confondus, les 1 % les plus riches du pays… les « vedettes, stars, grands auteurs, artistes célèbres et très fortunés, chacun selon la dimension de sa fortune, apporterait sa contribution – de l’ordre d’un trentième de tous ses revenus mensuels… (C’est d’ailleurs ce que font quelques uns d’entre eux, de ces milliardaires et célébrités et parfois même sans que cela soit « médiatisé »)…

     

    … Un drame humain de très grande ampleur, quelque part, où que ce soit dans le monde, là où tout ou presque est détruit, nous concerne tous parce que là où nous nous trouvons et vivons, nous sommes « comme en sursis » - même si le « sursis » dure plusieurs dizaines voire des centaines d’années… Et cela arrive toujours « du jour au lendemain » et c’est très brutal… Et qu’alors, dans le pays, dans la région où nous vivons, en France ou ailleurs proche ou lointain, éprouvés que nous sommes, nous avons besoin de l’aide de l’ensemble de la communauté humaine autour de nous…

     

     

  • Mayotte dévastée : un drame humain qui nous concerne tous

    … Entre les 10èmes sud et nord dans la bande équatoriale, soit de part et d’autre de l’équateur entre 0 et environ 1300 km de distance, se rencontrent les alizés qui alors, entre les 10ème nord et sud, sont déviés puis finissent par s’interrompre ou se réduirent fortement à mesure que leur trajectoire s’approche de l’équateur… Cette diminution de la circulation des alizés à l’approche de la ligne équatoriale est due au fait de la rencontre des alizés avec des masses d’air plus conséquentes, plus chargées en humidité, qui freinent le mouvement… Ou bien les alizés à proximité de l’équateur se « heurtent » - pour ainsi dire – à des obstacles tels que des montagnes, des forêts, des plateaux élevés (par exemple le plateau des Guyanes en Amérique du Sud côté Atlantique- conséquence la Guyane à 5 degrés latitude nord, connaît au moment de chaque équinoxe, deux « petites et brèves saisons sèches »)…

     

    Les masses d’air conséquentes chargées d’humidité forment tout le long de l’équateur comme un bourrelet irrégulier constitué de « cellules » de basse pression atmosphérique plus ou moins séparées les unes des autres… Et c’est là tout le long de cette « ceinture » que diminuent puis s’interrompent les alizés qui se rencontrent… Il résulte de ce principe qu’entre les 10ème Nord et Sud, l’on observe en permanence tout au long de l’année, un calme relatif avec une absence de cyclones (donc jamais de vents violents) – mais néanmoins de fortes précipitations pluvieuses et orageuses…

     

    La bande équatoriale entre les latitudes 10 Nord et Sud, est donc une « zone protégée » des cyclones, typhons, ouragans…

    Entre 10 et 23,27 c’est « une zone incertaine » dans laquelle peuvent survenir – jusqu’au niveau des 12/13 comme ce fut le cas dernièrement à Mayotte, ou comme c’est le cas parfois en Guadeloupe et Martinique entre les 14/16, de sévères ouragans (golfe du mexique et Atlantique) ou cyclones (océan indien)…

     

    La zone la plus impactée en fréquence et intensité par les ouragans et par les cyclones se situerait « en principe » entre les 20ème et 30ème degrés de latitude…

    « En principe » Mayotte et l’archipel des Comores sont « plus protégés » des cyclones - si l’on peut dire- (le milieu de Mayotte est situé à 12,5 degrés Sud) que La Réunion située au niveau de Saint Pierre à 21,5 degrés Sud…

    C’est pourquoi j’ai été étonné de la violence du cyclone survenu le 14 décembre 2024 à Mayotte… ( Il est vrai qu’il y a le canal du Mozambique entre la côte orientale de l’Afrique et Madagascar, une zone de courants d’air et maritime assez particulière et sujette à des turbulences)…

    Le dernier cyclone d’importance, de violence et d’intensité, à Mayotte, avant celui du 14 décembre 2024, remonte à 1934…

     

    Autre observation si l’on veut : entre les 30ème et 60ème Nord et Sud, se forment également des ouragans (qui eux prennent naissance au niveau des tropiques puis suivent une trajectoire les portant sur les moyennes latitudes)…

    Mais avant le début du 21ème siècle, entre les 30èmes et les 60èmes, les ouragans étaient alors « moins fréquents » quoique pas forcément « moins violents »…

     

    Avec le changement climatique (augmentation de température des eaux maritimes de surface) il est certain que, des 10ème aux 60èmes nord et sud, les risques météorologiques – tempêtes, ouragans, cyclones, typhons – vont se trouver accentués, plus violents, plus fréquents, et en conséquence vont impacter bon nombre de pays, régions, de la planète, et en particulier des zones urbaines et à forte densité de peuplement et avec des destructions massives… Et qu’il sera de plus en plus difficile (et coûteux) de reconstruire, de s’adapter… Et qu’il s’avèrera nécessaire de « revoir nos modes de vie » axés sur la consommation, sur des habitudes de confort, de sécurité, de jouissance de tout ce dont on se sert au quotidien (dont la « valeur marchande » voire patrimoniale, pourrait ne plus être tout à fait la même que de nos jours encore)…

    Parce que le « très beau, pourtant solide et durable » - et à plus forte raison le « normalement assez bien conditionné, bâti » (sans compter bien évidemment tout ce que l’on « construit de tic et de toc ») aura forcément moins de résistance et donc, vaudra moins puisque susceptible d’être détruit ou fortement endommagé…

     

     

     

  • Anecdotique ...

    … Les retraités qui, du temps de leur activité professionnelle, ont passé 40 ans de leur vie active, au travail, à se lever très tôt le matin, notamment des matins d’hiver où il gelait et que leur voiture se trouvait dehors… Lorsqu’ils doivent « par la force des choses » par exemple pour une prise de sang à jeûn en laboratoire pharmaceutique, pour un rendez vous à 9h du matin à 30 kilomètres de chez eux, et que leur voiture ne « couche pas dans un garage » … Trouvent que c’est « galère » - vraiment une contrainte très désagréable- un matin hivernal de gel, de dégivrer leur parebrise, leurs vitres, et d’attendre que la « clim » fasse effet dans l’intérieur de la voiture ( une fois dégivré, le pare brise intérieurement, s’humidifie immédiatement et il faut encore passer un chiffon – on n’a pas forcément la petite balayette spéciale)…

    Aussi un tel retraité évite-t-il autant que possible, d’avoir à prendre sa voiture pour aller quelque part, un matin d’hiver de forte gelée…

    Par exemple – soit dit en passant – un retraité qui est syndiqué CGT et invité à se rendre à une manif à 30 km de chez lui, à 10h du matin, alors que le thermomètre extérieur derrière chez lui affiche à 9h moins cinq degrés tout blanc de givre autour et sa voiture entièrement recouverte d’un givre qui colle et résiste à la petite pelle !

    Il faudrait une « foi chevillée au corps et à l’âme en la portée de cette manif » pour faire l’effort de se rendre à cette manif !

     

     

  • Entre film de cinéma en salle et DVD

    Cinema

    … 14 euros pour une place de cinéma – une seule personne, sinon en couple cela fait 28 – ce serait presque le prix d’un film DVD acheté en boutique ou en grande surface multimédia (en général un DVD neuf – d’un film de cinéma – coûte entre 15 et 20 euro)… La différence « appréciable » - on va dire – étant qu’un DVD peut être – pour le même prix qu’un film sur grand écran au cinéma – vu par plusieurs personnes installées devant un poste de télévision… Sauf que, bien évidemment, même sur une télé grand écran, ce ne sera jamais, ne vaudra jamais une projection du film sur un écran de cinéma…

    À noter cependant qu’au cinéma pour les « mal-entendants » les films qui sortent en salle, ne sont jamais sous-titrés à moins d’être présentés pour certains, de réalisateurs étrangers, en « VOST »… Alors que très souvent, le même film en DVD offre l’option « sourds et mal-entendants » avec sous titres…

    Cela dit, à comparer – question prix – un film en DVD et le même film en salle de cinéma « y’a pas photo » (en effet plutôt que de payer 15 ou 20 euro un DVD, pour 14 euro ou moins c’est à dire 8 ou 9 – et moins encore des lundis, mercredis à prix réduits, il vaut mieux voir le film en salle)…

    Cela dit, encore, l’on trouve des DVD d’occasion en vide-grenier, aux Emaüs, dans des boutiques revendant des objets de toutes sortes, dans des « Easy-cash », l’on peut se procurer des DVD en médiathèque, et même assez souvent en grande surface multimédia en solde, en promo, pour moins de 5 euro…

    Avec les DVD d’occasion achetés 1 euro voire 0,50 euro en vide grenier, il y a tout de même un « hic » :

    Souvent, ayant déjà été visionnés un certain nombre de fois, ils présentent d’importants défauts – de défilement, de qualité d’image…

     

     

  • C'est quoi le succès ?

    … Le succès, c’est, à deux ans comme à quatre-vingts ans, de ne pas faire dans sa culotte…

    Et le succès, pour les « sans dents » ou pour les personnes dont le coefficient masticatoire est inférieur à 30 %, c’est, au restaurant, lors d’un repas familial, de pouvoir « pédaler » (« denticoter » on va dire) au même rythme que les amis ou proches âgés de 30/40 ans qui eux, ont un coefficient masticatoire supérieur à 50 %… En optant au menu du restaurant, pour des mets ne nécéssitant aucun effort masticatoire – ou en avalant sans les mâcher les morceaux d’entrecôte bordelaise, au risque de s’étrangler et de s’étouffer si « ça passe par le mauvais trou » - bonjour alors les obsèques à échéance accélérée (rire)…

    Lors du repas familial, si c’est de l’entrecôte à l’os – épaisse de 5 centimètres – c’est « dur/dur » pour le déficient de la mastication ! À moins que par déférence, les autres – aux « belles dents » ne s’impatientent pas en attendant le « retardataire » !

    Il faut être réaliste : on vit dans un monde « assez cruel » et donc, difficile pour les déficients en quoi que ce soit !

    Que de « perfide et hypocrite compassion » dans la bonté « de bon aloi » manifestée consensuellement !

    De « bons, forts et gros pavés jetés dans la mare de cette bonté de façade !

     

     

  • Les deux risques les plus élevés, d'accident de la circulation

    … De plus en plus de personnes très âgées vacant « tout à fait ou à peu près normalement à leurs occupations au quotidien » et « se faisant suivre régulièrement en cardiologie » conduisent des voitures et effectuent parfois, encore, âgées d’environ 90 ans, de longs déplacements – de l’ordre de plusieurs centaines de kilomètres- en des périodes de l’année de grande circulation…

     

    En effet si « tout va à peu près bien » - la vue, l’ouie, les réflexes, la résistance, la maîtrise (si c’est le cas) de la conduite automobile en milieu urbain et péri urbain ; le « grand âge » venant, il n’y a aucune raison d’envisager pour ces personnes de cesser d’utiliser une voiture – dont elles se servent d’ailleurs tous les jours, pour leurs déplacements locaux, régionaux, et cela depuis de nombreuses années…

     

    Cependant il existe un risque d’accident, imprévisible et qui, survenant lors d’un flux de circulation sur un axe principal, une autoroute, peut avoir de dramatiques conséquences…

    Considérons par exemple le cas d’un homme de 88 ans « en relative bonne santé » et « jouissant de toutes ses capacités » (vue, ouie, réflexes, résistance) et « se faisant suivre régulièrement en cardiologie »… Au volant de son SUV sur une route à trois voies, un jour de grande circulation… Cet homme n’ayant jamais été impliqué dans un accident… Un « bon conducteur » en somme…

    Il fait un infarctus « fatal » c’est à dire que survient brutalement une thrombose coronaire de l’aorte droite ou de l’une ou l’autre des deux branches de cette aorte… Ou bien encore, survient brutalement lors d’une dysfonction aggravée du ventricule gauche, une sévère arythmie lui faisant perdre connaissance (la fraction d’éjection alors tombant très en dessous de 35%) donc plus de circulation sanguine…

    Lors d’un tel événément, le véhicule n’étant plus maîtrisé, se déporte vers la voie centrale ou la voie de gauche et heurte à près de 90 km/h, le véhicule arrivant en face…

    Le risque il faut dire, existe aussi pour des personnes moins âgées, de 50, 60 ans, voire même de 40…

     

    Et à ce risque – non négligeable – s’en ajoute un autre : celui qui est lié à la prise de stupéfiants (cocaïne et drogues dures)… Quand on sait en effet qu’un Français sur trois en moyenne actuellement, consomme de la drogue (souvent de la cocaïne) « il y a de quoi s’inquiéter ! »… Question risque d’accident de la circulation dont on peut être victime…

     

    Les deux risques les plus élevés d’accident de la circulation sont donc : une déficience cardiaque grave, et la consommation de drogue, entraînant brutalement une non maîtrise de la trajectoire du véhicule…

     

     

  • La réflexion du jour, samedi 14 décembre 2024

    … Sept millions de personnes en France ne mangent pas à leur faim… Soit !

    Mais il y en a sûrement plus de sept millions, qui « ont les moyens » de se nourrir « au mieux » (« bio » ou du terroir local)… Mais qui, « par économie » et – il faut le dire - « parce qu’ils préférent dépenser pour une croisière, pour un abonnement à NETFIX, pour des fringues à la mode, pour une Télé écran plasma de 2 mètres en diagonale »… Achètent tout ce qu’ils bouffent en promo, au prix le plus bas, du poulet brésilien, de la vache américaine, de « la merde », du « bourré de composants et additifs chimiques et hormones » !

    Bravo les agriculteurs en colère – et quelques consommateurs les soutenant – qui investissent des supermarchés et sortent dans des caddies tout ce qui, dans ces supermarchés, vient de pays du Mercosur ! Et détruisent ensuite ces produits scélérats sur les parkings en y foutant le feu ou les aspergeant d’eau de javel !

    Ainsi, si oui, il y a quelques pauvres que l’on prive de produits alimentaires, par un tel comportement contestataire ; il n’en demeure pas moins qu’on s’attaque, de cette manière là, à ces gens qui « ont les moyens mais bouffent volontairement de la merde » ! Ceux là sont les « vrais coupables » !

    Cela dit, les agriculteurs en colère, ils devraient aussi cesser de se fournir en soja brésilien pour nourrir leurs vaches !

     

     

  • Appels indésirables

    … Normalement sur un smartphone, tous les numéros en 06 et 07 de ses connaissances, amis et proches, figurent dans la liste des contacts enregistrés et mise à jour à chaque introduction d’un nouveau correspondant…

    De telle sorte qu’à chaque appel entrant, avec le numéro de l’appelant, apparaît le nom de l’appelant.

    Si ce n’est pas le cas, avec le numéro de l’appelant, apparaît cette information « non enregistré » ce qui indique un appelant inconnu et inidentifié…

     

    Avec toutes ces pubs, sollicitations, appels, de démarcheurs, d’inconnus, de personnes que peut-être on connaît mais que l’on n’a pas enregistré dans la liste de contacts, certains d’entre nous -dont je fais partie- sont, lorsque retentit l’appel, « durs à la détente » et, le plus souvent ne répondent pas, ayant lu « non enregistré »…

     

    Bon sang, pourquoi l’appelant non identifié, ne figurant pas dans les contacts, ne prend-il pas la peine en cas de non réponse, de rédiger un court message ne serait-ce que de quelques mots, afin de s’identifier et de préciser la raison de son appel ?

    Il faut à peine 30 secondes, au plus 1 minute, pour laisser un bref message… Est-ce « si contraignant que ça » ? Dans un quotidien où il ne faut pas perdre le moindre moment, où tout le monde est pressé, impatient, exigeant… Ces personnes qui appellent depuis leur téléphone portable vers un autre téléphone portable, duquel peut être rédigé un court message, et ne figurant pas en « contacts »… Me gonflent ! (un bras d’honneur à leur intention!)…

    Et après, ils s’étonnent que l’on ne réponde pas ! Merde ! Qu’ils s’identifient bon sang !

    Ah, oui, c’est vrai : il y a la possibilité de laisser un message oral (donc, à écouter)… Mais un message à écouter, souvent il est inaudible ! Même en « boostant » le haut parleur du smartphone au maximum !

    « Du coup » je me dis « est-ce que des smartphones à 1300 euros, au lieu de entre 150 et 200, permettent de mieux entendre et comprendre un message audio laissé par un correspondant ? »…

     

    Il peut cependant arriver que, n’ayant pas son smartphone à portée de main, ou s’il est en mode vibreur ou muet (cinéma par exemple), l’on rate l’appel entrant d’une personne figurant dans la liste de contacts. Mais dans ce cas, dans le courant de la journée, en consultant les appels reçus, on voit qui a appelé…

     

     

  • Ni pour ni contre ni neutre

    … Être pour, être contre, être partisan, être opposant, adhérer, se démarquer… Ou être neutre…

    C’est – dans un sens ou dans un autre, en quelque nuance que ce soit – et avec tous les arguments possibles et imaginables aussi bien fondés soient-ils - « être dans l’Ordre du Monde »…

    La neutralité pouvant être une « position » - personnelle- ou un « choix » n’est pas – et ne sera jamais – de « l’indépendance et de la liberté d’esprit »… La neutralité entre elle aussi, tout comme l’adhésion à une idée, à un parti, à une opinion, et, tout comme au contraire, l’opposition et le fait d’être contre… Dans l’« Ordre du Monde »…

    Dans la pensée ordinaire et courante des gens, la neutralité est confondue avec l’indépendance d’esprit… Alors qu’à bien réfléchir la neutralité se rapproche de la démission, de l’acceptation tacite ou non avouée, d’une forme de lâcheté…

     

    Être ni pour ni contre ni neutre, implique un « mode de pensée » un « état d’esprit », des comportements et des choix en face de ceci ou de cela, un « rapport de relation à l’autre » qui n’est pas commun et qui en général suscite de l’indifférence, au mieux de l’interrogation ou interpelle…

     

    Être ni pour ni contre ni neutre, implique un travail de réflexion, d’analyse des situations, une tension toute sa vie durant vers la clairvoyance, et cela même avec des yeux en partie aveugles…

     

    Cependant, être contre ce qui détruit, contre ce qui fige, contre ce qui empêche d’avancer, contre ce qui nuit, contre ce qui déshumanise, contre ce qui sépare, contre ce qui exclut parce qu’étant inacceptable… Cela c’est « dans l’ordre naturel des choses »…

     

     

    L’aune ou l’étalon en quelque sorte, tout comme le mètre ou le kilogramme, c’est cette faculté que l’on peut avoir en soi à être ni pour ni contre ni neutre dans le plus grand nombre possible de situations les plus sensibles…