Articles de yugcib

  • Festivals d'été en plein air, avec le masque ?

    … Par exemple, le festival du court métrage de Contis Plage sur la côte landaise ? …

    Je dis ce festival là en particulier, parce que vu son caractère, son atmosphère, vu la convivialité et le côté “relationnel” et disons le, “assez atypique” et “en dehors des clous” de cette manifestation artistique – qui dure chaque année cinq jours, du jeudi soir au lundi soir – souvent au milieu du mois de juin et parfois – comme cette année en 2021, en septembre, du 15 au 19…

     

    Vu, donc, le caractère de ce festival, il est difficile de l’imaginer, ce festival, “en masque” ! Déjà autour du “grand patio” d’accueil et de l’entrée toutes portes ouvertes où est offert par Betty et Rainer les organisateurs et propriétaires du cinéma Le Select, un “apéro géant” (toutes les personnes présentes sont invitées) lors de la soirée d’inauguration le jeudi soir, et même dans le grand hall d’accueil (très aéré) donnant sur une terrasse en surplomb (assez vaste) où est réunie toute une assemblée de “jeunes femmes chic”, de “mecs sympas”, de personnes de tous âges, de familles avec enfants et adolescents, de quelques personnages aussi, il faut dire “hors du commun” (mais sans “fausse note” ni “m’a-tu-vuisme outrancier”)…

     

    Oui, dans une telle atmosphère, qui soit dit en passant “est assez proche de ce que je conçois en matière de manifestation culturelle et artistique – et de relation” (chic, sympa et sans effets spéciaux d’apparence, de look et d’esbroufe) – rire … le masque dissimulant la moitié “australe” du visage (et donc le sourire) me semble “totalement inapproprié et surréaliste”, comme dans un mauvais film de science fiction épouvante du genre “désastre pollution post explosion atomique, ou grande pandémie genre Le Fléau de Stephen King !”…

     

    Et j’imagine aussi les programmes de court métrage soumis au vote du public… Des films sortis tout droit des fantasmagories et de l’imaginaire créatif des présentateurs (qui sont tous des amateurs mais passionnés et talentueux), avec des scénarios “covidiaux” ou “post covidiaux”, des histoires d’amour très atypiques où les deux partenaires se “mangent le visage au travers du masque” ou encore des situations de relation, anecdotiques, drôles, “décoiffantes”, humoristiques ou dramatiques (certaines) tout cela “très en rapport” avec ces temps que nous vivons… De véritables petits chefs d’ œuvres ! Très “actuaux” dis-je (pardon pour l’incorrection grammaticale – le pluriel de “actuel”)… Rire…

    Non, no no non… Le festival du court métrage de Contis Plage… Avec le masque… J’arrive pas à imaginer !

     

    Et d’ailleurs, quel grand amoureux des visages, des regards, des sourires, des expressions, de ce qui fait qu’une personne est unique en son genre, irremplaçable, “coup-de-froudri – ique”… Peut imaginer un festival ou une manifestation culturelle ou artistique de ce genre là… En masque ?

    Allez, je le lâche le mot : “visage chic !

     

    Précisions :

     

    L’apéro géant de la soirée d’inauguration, où toutes les personnes présentes sont conviées, est en réalité financé en partie (30%) sur le budget recettes du cinéma (ouvert toute l’année 7 jours sur 7) et en partie (70%) sur le budget du Conseil Général (subvention)… Du fait que ce festival est déclaré – et présenté – “international” ; il est possible que “des fonds Européens” alimentent le budget du Conseil Général… (Si c’est le cas “vive l’Europe” – l’Europe de la Culture, des subventions pour des étudiants, des projets collectifs à “retombées économiques et sociales”- ça on peut pas être contre !)…

     

    Bien que ce festival soit en grande partie, en salle, du fait des programmations de films (en général six séries d’une dizaine de courts métrages), il se déroule aussi en extérieur avec des scènes en plein air, notamment le soir sur la plage, dans les rues de Contis, avec des conférences débats, des musiciens, des représentations d’artistes, des nuits dansantes…

     

     

  • Le même, mais en pire !

    … Ainsi depuis le dimanche 13 juin 2021, Benyamin Netanyaou, premier ministre Israélien depuis 12 ans, est remplacé par Naftali Bennett, un sioniste d’extrême droite, encore pire que Benyamin Netanyahou !

    Il est “à fond” pour la colonisation (implantation des colons en Cisjordanie – et territoires palestiniens), pour la religion, pour un nationalisme exacerbé… Tout cela “sous couvert d’une modération genre pas de vague” mais cela ne trompe personne et c’est peut-être finalement encore plus “problématique” pour la paix – d’ailleurs inexistante depuis un siècle dans cette région du monde qu’est le Moyen Orient…

    Si “au purgatoire” de Yahvé, Benyamin Netanyahou sera condamné ad æternam assis sur un pliant au bord d’un étang et nourri d’un yaourt par jour, alors Naftali Bennett quant à lui, sera vraisemblablement condamné à remplir, à vider, à reremplir, à revider et re-reremplir une benne, ad æternam, de naphtaline, et il aura intérêt à être bien net dans ce boulot de remplissage vidage de benne… (rire)…

     

     

  • Un à zéro ...

    … Je n’ai guère été mardi soir 15 juin à 21h l’un des quinze millions de téléspectateurs ayant suivi le match de foot France Allemagne qui se déroulait à Munich et où d’ailleurs plus de 2000 personnes passionnées de foot avaient fait le déplacement pour assister à cette prestation footbalistique haut niveau, depuis, pour certains d’entre eux, des régions de France éloignées des frontières de l’Est…

    Bonjour les longs trajets en bagnole par autoroute – dans mon jargon “Tamtamroye- la peau-des-fesses” avec peut-être abonnement annuel péage sans sortir la carte bancaire – dépassement 130 km/h grâce à des applis détection radars fixe et mobile, GPS intégré dernier cri sur le tableau de bord – pratique pour naviguer autour de Munich dans le système complexe des voies périphériques et nœuds de circulation – l’horreur rien que d’y penser surtout si le GPS il est pas si dernier cri que ça, c’est à dire sans les plus récentes mises à jour téléchargeables moyennant dix euro ou plus… Sans compter sans doute un arrêt Mac Drive quelque part sur une aire très fréquentée – “bouffer en bagnole” (La “Totale” pour résumer l’affaire)…

    Ayant appris “après coup” (le lendemain matin) le résultat, 1-0 pour “les bleus” (pourquoi pas “les bleux” histoire de foutre un peu la grammaire en l’air)… Je me suis dit “c’est pas une bien grande performance!”…

    “Alea jacta est” ! Ç’eût pu être différent dans l’autre sens 0-1 le résultat ! Mais bon, c’est bien dans le nonordre-des-choses-et-des-pas-choses…

    Cela dit pour les Téléspectateurs j’ai pas dit “les Tu-es-laid-spectateur” ! … Quand même pas !

     

  • Les acteurs de l'industrie touristique

    … Avant de s’en prendre à des jeunes – ou à des “moins jeunes” – auxquels on reproche des “comportements irresponsables”, qualifiés d’égoïstes, d’individualistes ; parce qu’ils sont anti port du masque, parce qu’ils se livrent à des rassemblements festifs nocturnes à proximité les uns des autres, parce qu’ils ne respectent pas les règles prescrites et, en un mot “n’en font qu’à leur tête”… L’on ferait mieux de regarder plutôt du côté de, par exemple, de l’Indou aisé, qui vient passer des vacances en France dans une région touristique très prisée, avec sa carte Gold ou Visa Premier, en chambre d’hôte où les propriétaires de cette maison d’hôte “se mettent en quatre” pour bien accueillir cet Indou aisé, jusqu’à ne pas lui demander s’il a eu ses 2 doses de vaccin covid, ou qu’il justifie de sa non positivité au covid…

    D’ailleurs “si ça se trouve”, l’Indou aisé en question, possesseur de carte Gold ou Visa Premier, à son arrivée à l’aéroport Roissy Charles De Gaulle, quand bien même l’on lui a signifié que son entrée sur le territoire Français est soumise à un isolement d’une semaine en hôtel proche de l’aéroport, ou à un test très récent de non positivité au covid, dans le cas où il lui a été prescrit de se conformer à un isolement d’une semaine, aucune police, aucune autorité ne vérifie si oui ou non, il se conforme à un isolement de quarantaine… (courte quarantaine de 10 jours au plus)…

    Et cet Indou aisé carte Gold ou Visa Premier, on va le retrouver en TGV, ou en location de véhicule – soit dit en passant genre 4X4 grand tourisme luxe – et il va ainsi “faire” les châteaux de la Loire, le Tout Paris avec le château de Versailles, les grands hôtels de Biarritz ou de Nice, des stations balnéaires hyper cotées, de belles régions touristiques au riche passé patrimonial plein de beaux châteaux, séjourner dans des chambres d’hôtes “haut de gamme”, accueilli tel un prince, une sommité…

    Et quand je dis “un Indou aisé”, je pense aussi au Qatari, au Saoudien, au Chinois, au Russe, à l’Américain, au Brésilien, tout aussi aisé, carte Gold Visa Premier, “plein aux as”, ressenti par les professionnels et acteurs de l’industrie touristique en France, comme un “client privilégié” apportant devises, “faisant du bien au porte monnaie”, et donc, “indispensable” pour l’économie de la France !

    Honte aux acteurs de l’industrie touristique hébergements loisirs etc. … Qui regardent d’un “si bon œil que ça”, ces gens là, qui certes ont peut être été testés négatifs covid – mais c’est pas si sûr que ça – honte à ces mêmes acteurs qui en revanche, n’ont que sévérité et déconsidération pour une jeunesse jugée “désobéissante” – en grande majorité n’ayant pas de carte Gold ou Visa Premier !

    Je vous le dis tout net tout haut et en tapant du poing de contestation rageuse : l’Indou aisé, ou le Chinois ou le Russe ou le Qatari idem aussi aisé… “Il n’est pas le bienvenu” ! Du fait d’une suspicion à son égard, de la part des acteurs de l’industrie touristique, de complaisance en matière de vérifications relatives au covid…

    “Moralité” : tenanciers de chambres d’hôtes, en cet été 2021, ainsi qu’acteurs de l’industrie touristique en général, êtes vous disposés à “bien accueillir” l’Indou aisé, le Qatari, le Russe, le Chinois tout aussi aisé et désirant “avoir une bonne idée de la France” (soit dit en passant “pour les richesses patrimoniales et gastronomiques et œnologiques de la France”) ?

    Ben merde alors, si c’est le cas, moi Français Lambda, non titulaire de Visa Premier ou de Gold, vous ne m’aurez pas en tant que visiteur et consommateur de passage ! … De toute manière, vous vous en foutez, vous n’attendez pas après moi pour vivre !

     

    … Et que dire de ces énormes bateaux de croisière qui vont recommencer à se succéder jusqu’à plusieurs dans la même journée dans les ports méditérranéens Baléares, Malte, Venise, baie de Naples, Grèce, Crète, Chypre, mer Ionienne… Déversant leurs flots de touristes dans les villes côtières ! Tous testés négatif covid ? … En files d’attente les uns derrière les autres, chapeautés casquettés, lunettes – de – soleillisés, masqués, durant trois heures sous un soleil de plomb ?

    Et, j’imagine, la “grande nouveauté” : le tour de l’Antarctique en bateau croisière ! Là, aucun risque de transmettre le covid à des “populations locales” autres que des manchots !

    … Professionnels et acteurs de l’industrie touristique, propriétaires d’ “hôtels de charme” et de maisons d’hôtes, vous avez déjà en France, donc dans votre pays même, un potentiel de clientèles qui est loin d’être négligeable, de clientèles constituées de gens à revenus “moyens”, environ quelques millions de Français, des gens “très corrects”, pas spécialement “ceci ou cela” question “vision du monde et de la société”, des gens en général ouverts, souvent en famille avec des gosses bien éduqués et polis, des gens qui vivent et travaillent soit dans de grandes villes soit en zones rurales urbanisées, souhaitant passer quelques jours agréables loin des soucis et des aléas d’une vie quotidienne éprouvante (trajets pour se rendre au travail, métier ou profession nécessitant d’avoir de la résistance physique et surtout morale)… Suffisamment, donc de gens sympathiques et de relation agréable… Car c’est bien ça, ne l’oublions pas, aussi, la France des villes et des campagnes, la France “moyenne” – de plusieurs millions de gens – la France dont les médias ne parlent pas trop, qui existe bel et bien, faite de tous ces gens “corrects”…

    Vous n’avez donc pas vraiment besoin, professionnels et acteurs de l’industrie touristique, propriétaires d’ hôtels de charme et de maisons d’hôtes, d’aller chercher des Indous, des Qatari, des Russes, des Chinois aisés, pour gagner votre vie ! Les Français à “revenus moyens” voire aisés, eux aussi ont des cartes Visa Premier ! (du moins certains d’entre eux) et ils vont pas regarder à 10 euro près la nuit plus petit déjeuner, pour une chambre d’ hôte !

     

     

     

     

  • De fidèles et assidus visiteurs

    Un gris cendré à queue coupée avec le bout des pattes blanc

    Un tigré à queue coupée

    Un autre tigré à queue normale de longueur, dont le “visage” ressemble trait pour trait et regard, au “visage” du tigré à queue coupée

    Un noir noir bien noir à queue coupée

    Un beau roux foncé, d’un roux vif et profond, un peu marbré, aux yeux vert clair

    Un marron beige jaune tigré, avec du brun foncé, à poils longs, au “visage” adorable, à queue touffue

    Un marbré de noir et de brun, à queue coupée

     

    Ils ne sont jamais tous là, en même temps, dans mon jardin

    Les plus assidus, au moins une ou deux fois, voire trois fois dans la journée, sont les deux tigrés et le marron tigré à poils longs. C’est ce dernier qui se laisse le plus approcher, mais les deux tigrés demeurent en face de moi, à 3 mètres au plus près, en “expectative”… Nous nous regardons dans les yeux… Mais impossible de les approcher à moins de 2 mètres…

    Le plus détalant, le plus sauvage de tous, à la moindre tentative d’approche même de loin, c’est le beau roux foncé aux yeux verts…

    Je tente des approches, notamment le matin vers 10h quand je garnis deux vieilles assiettes blanches fendues (de “Petite Mémé”), de croquettes. Un sac de 8 kg de croquettes en réserve, dans une grosse poubelle fermée, sous l’appentis du “cabanon” au fond du jardin. Le sac de 8kg dure environ 1 mois… En réserve également, trois bouteilles de contrex d’un litre et demi emplies de flotte, afin d’abreuver les minous, dans un vieux petit saladier en matière plastique…

    Depuis deux ans que ces minous se sont installés dans les parages, et donc viennent régulièrement dans mon jardin, je ne vois plus jamais la moindre taupinière. Avant ces minous, durant toute l’année, mon jardin était constellé de monticules de terre…

    Ils m’ont débarrassé de tout rongeur, rat, souris, mulot, campagnol… Même les petits lapins ont disparu, ainsi que les taupes et les taupins (les taupins qui font des galeries à fleur de terre et qui en outre, ravagent le carré de quelques légumes)… D’ailleurs dans ce carré de jardin où poussent des oignons, des poireaux, les minous détruisent aussi ces saloperies de bestioles “pas très catholiques” qui, avant, me bouffaient les oignons et les poireaux par la racine en les tirant vers le bas, dans la terre…

    Une femme très gentille, de l’association “les amis des chats”, que j’appelle “la dame des minous”, m’a expliqué une fois, que tous ces minous d’aucune maison, étaient attrapés (ils ont le matériel adéquat pour les “choper”) et stérilisés (matous et minettes)…

    Au début, il y a deux ans, je voyais une chatte grise à queue coupée qui, à deux reprises, avait eu une portée de 3 chatons (des petits tigrés) qu’elle élevait sous l’appentis du cabanon… Mais depuis qu’ils ont tous été stérilisés, il n’y a plus de portées de chatons…

     

    … Ils ne se laissent guère approcher, depuis deux ans question communication on en est au même point chacun d’eux et moi, ça se limite à des mimiques, à des expectatives… Le “discours” est toujours le même : “minou, minou…”

    Mais je les trouve “d’un bien meilleur commerce que certains grands minous à deux pattes” (des humains pour appeler un chat un chat)…

    Ce sont de bien fidèles et de bien assidus visiteurs, qui parfois, ne craignent point de s’aventurer jusqu’à moins d’un mètre de moi lorsque je suis assis sur une vieille chaise paillée en train de lire un livre… Sauf le beau roux aux yeux verts…

    Le soir vers 7h, en général, les assiettes de croquettes sont vides… Ils ne sont pas difficiles : n’importe quel type de croquettes leur convient. Mais je leur en prends des “sans agents chimiques, colorants” et des “multi viandes – poulet/lapin/bœuf/poisson/dinde/céréales… Une fois j’ai passé dix minutes à lire attentivement la composition détaillée de ces aliments, sur le sac de croquettes…

     

    … Quand je serai mort, j’irai au paradis des minous…

     

    Mais je ne voudrais pas que, par suite de quelque “mutation génétique réductrice en taille” l’être humain se retrouve un jour à la taille d’une petite souris … J’imagine : l’humain alors, en face d’un grand énorme minou…

     

     

  • Dans les notifications, parfois ...

    … C’est ce que l’on voit, en cliquant sur la petite cloche en haut à droite :

     

    … “Vous n’avez rien publié depuis un moment. Rédigez une publication pour communiquer avec …”

     

    … Avec qui ? …

     

    “Rien publié”, depuis 6 jours (en surbrillance bleue) , ou depuis 6 semaines… Précisent les notifications…

     

    … C’est que – comme dans la ville où l’on vit et se promène, et où c’est pas écrit sur son front “Ma pomme”… Sur la Toile, les réseaux sociaux, Facebook, un blog… C’est pas sur l’écran page accueil, non plus, écrit en haut de la page “Sa pomme a posté…” Et quand bien même cela serait, ça peut faire comme devant un chat indifférent à voir passer sous son nez une musaraigne dont il n’a que faire…

     

     

  • Le NPA en perte d'électeurs

    … J’ai été, disons, “assez satisfait” d’apprendre que le NPA (Nouveau Parti Anti Capitaliste) perdait de ses électeurs au profit de Lutte Ouvrière…

    Du temps où le NPA s’appelait “Ligue Communiste Révolutionnaire”, je le trouvais plus “crédible” – si l’on peut dire …

    Mais depuis qu’il est NPA, je le trouve “pas du tout anti islamisme, anti port du voile, enfin, trop complaisant avec les islamistes, trop pour des “complaisances au nom d’une liberté discutable” (en gros une espèce d’anarchisme où je ne m’y retrouve pas, que je considère comme une mauvaise copie, déformée, de l’anarchisme)…

    Et en plus, dans le contexte de violences commises ces derniers temps, contre des policiers qui, en l’occurrence n’étaient pas dans la répression brutale et arbitraire (ce qui peut arriver, mais là dans le contexte actuel ce n’était point le cas) ; l’affiche de Philippe Poutou “ Pas lui” qui en a choqué plus d’un… ça peut plus être un parti “crédible” que le NPA !

    En revanche – mais de ma part “dans une certaine nuance cependant”, j’aime mieux (façon de parler) Lutte Ouvrière, parti – je ne m’en cache point – pour lequel je votais au 1er tour des élections présidentielles avant 2012…

    Mais là aussi, en ce qui concerne ce parti, je souhaiterais qu’ils soient encore plus virulents qu’ils ne le sont, à l’égard des religions… Je pense qu’ils mettent bien en avant le statut de la Femme (qu’ils affirment être l’égale de l’homme et qui, comme ils disent, comme je le dis, n’est pas vraiment l’égale pour les salaires)… Je suis d’accord avec beaucoup de leurs revendications, je trouve que leur anarchisme est une “moins mauvaise copie” que celle du NPA… Mais, tout de même, ils ont “un peu trop” à mon sens, de complaisance, d’acceptation (toujours au nom d’une liberté discutable) à ce que des femmes musulmanes paraissent voilées dans l’espace public…

    Du coup, depuis 2017, au premier tour des élections présidentielles, ils n’ont plus ma voix…

    J’ai essayé d’imaginer (pour rire “un peu scabreux” on va dire) un bolchevisme à la soviétique octobre 1917… Tous ces gens là, ces islamistes radicaux, avec quelques voyous, fanatiques religieux, et bien sûr quelques milliardaires et gros actionnaires dans le lot… Ils se retrouveraient dans des goulags, ou pour certains, devant un peloton d’exécution… Mais bon… Ce ne sont là que des propos…

     

  • La mémoire, le souvenir

    … Notre mémoire est une sorte d’armoire dans laquelle sont rangés tous nos souvenirs.

    Avec le temps qui passe, l’armoire ne s’agrandit pas, elle est toujours la même depuis notre enfance.

    La seule différence qu’a l’armoire entre le temps de notre enfance et le temps de notre vieillesse, c’est que nous lui avons ajouté des étagères parce que les souvenirs sont devenus plus nombreux.

    Les souvenirs ne disparaissent jamais. Ils s’accumulent sur les étagères et de temps à autre, l’un ou l’autre ou plusieurs d’entre eux, que nous n’avons pas forcément extraits de l’étagère d’en dessous, de celle du milieu ou de celle du dessus ; par quelque glissement inattendu, surgit à notre vue.

    Tous les autres souvenirs les uns sur les autres rangés sur les étagères, qui peut-être et même certainement, un jour surgiront ; par glissement inattendu ou par extraction volontaire, sont comme endormis…

    Mais il y a des souvenirs, nombreux, qui demeureront toujours endormis… Des souvenirs de visages, en particulier…

     

  • Les mots qui n'ont pas été dits

    … Les paroles qui n’ont pas été dites, de tout le vivant de chaque personne, par les autres, en particulier des proches et des amis, à celui ou celle avec qui on a vécu, que l’on a connu ; parfois durant des années… Font dans les cercueils, des morts dont la pesanteur exerce sur les accompagnants au moment des obsèques, une force qui, lorsque ces morts étaient encore des vivants, ne s’exerçait pas…

    La pesanteur alors, est faite de tout ce dont on se souvient, qui nous a laissé indifférent, silencieux, qui nous a paru étranger à nous-mêmes, n’a pas été dans nos aspirations et donc jamais partagé avec celui ou celle qui, lui ou elle même, n’ a jamais rien dit – mais a cependant, comme le petit poucet dans le conte, semé des cailloux le long du chemin…

    Et tout ce dont on se souvient alors, le temps des obsèques, dont la pesanteur est réelle, qui fait les regrets, les “si j’avais su”… Le vent de la vie qui court, l’emporte après l’avoir fait tourbillonner un temps indéterminé, comme des feuilles mortes sur le chemin où l’on continue d’avancer…

     

  • Si les gens heureux ...

    … Si les gens heureux ne perdent pas leur temps à faire du mal aux autres, et si la méchanceté est le fait des malheureux, des aigris, des amers et des jaloux…

    Il n’en demeure pas moins – et ce n’est nullement condamnable – que les gens “heureux dans leur pensée et dans leur esprit”, s’il leur arrive d’être agressés ou violemment et lapidairement contestés, ne perdent alors jamais leur temps, s’ils agressent leur agresseur, s’ils font du mal à leur agresseur…

    Ne pas pouvoir agresser son agresseur, notamment lorsque l’agresseur est inatteignable, anonyme, ou dans une situation où l’on ne peut réagir… C’est une véritable souffrance !

    Et contre cette souffrance là, il n’ y a que la “morphine” de la réactivité – autant que possible immédiate – pour la soulager…

    C’est à dire, lorsque l’agresseur est atteignable, l’agresser autant sinon plus qu’il nous a agressé ; et, lorsqu’il n’est pas atteignable, l’agresser par la mitraille des mots et de la caricature iconoclaste, sur le grand mur le long duquel tout le monde passe, afin que si l’agresseur se reconnaît dans ce qu’il voit écrit sur le grand mur, ça lui fasse saigner les gencives !

    L’agresseur agressé n’est jamais une victime, c’est toujours une ordure ! Et les ordures, on les brûle ou on les enterre… Mais bon, c’est vrai aussi, on peut en faire du compost…

     

     

  • La nouvelle - et déroutante- dimension du monde humain

    … Depuis des siècles voire des millénaires, le monde humain fonctionnait en gros selon un même mode, celui :

     

    Des riches et des pauvres, des dominants et des dominés, à savoir d’un côté les grands propriétaires terriens et d’industrie, les nobles, les rois et les princes et les ducs du temps de l’Ancien Régime, les prélats, dignitaires de l’église ; et de l’autre côté (de la grande majorité) du peuple, des travailleurs, des esclaves ou serfs au moyen âge et dans l’antiquité, des gens du commun y compris les bourgeois ne faisant pas partie des dominants en “haut lieu”…

     

    De la droite et de la Gauche sur le plan politique et social.

     

    Après l’ancien régime, ce furent – en France notamment – la république, l’empire, enfin des régimes différents jusqu’à la dernière république, la 5 ème… Avec les mêmes “rapports de force” entre les riches et les pauvres, les dominants et les dominés…

    Tout cela fonctionnait donc sur “ce mode là”, avec des évolutions, des révolutions, des changements de régime…

     

    Au début du 21 ème siècle, le monde humain, déja cependant “globalisé” ou “mondialisé” – économiquement parlant – fonctionnait encore selon ce mode là… Et donc, dans le même rapport de forces, souvent il faut dire, en faveur des dominants et des décideurs, de façon plus marquée qu’avant, avec les nouvelles technologies accroissant les richesses des plus favorisés (d’environ 1% des hommes et des femmes)… (par exemple Louis XIV se déplaçait en carrosse tiré par des chevaux, et les milliardaires de 2021 se déplacent en Jet Privé)…

     

    … Mais depuis récemment, on va dire depuis les années, en gros, de 2014/2015, le monde humain ne fonctionne plus QUE dans le mode tel que je viens de le décrire ci dessus (en résumé ou en condensé)…

    Autrement dit, les riches et les pauvres, les dominants et les dominés, ça existe toujours, et ça c’est même renforcé, accentué… Mais ce n’est plus la seule “dimension”…

    Il y en a une autre, de dimension, celle là, indéfinissable, jusqu’alors inconnue durant des siècles et des millénaires, dont personne, aucun analyste, aucun sociologue, aucun témoin de son temps, et cela dans la réflexion la plus profonde qui soit, ne peut faire une lecture exacte… Juste une “lecture d’observation” et encore, selon différentes visions – personnelles ou de groupes…

     

    La “prise de conscience” de cette “nouvelle dimension” n’est pas, loin s’en faut, le fait d’une majorité de gens sur cette planète, tous pays confondus… C’est même le fait d’une très petite minorité de gens – et pas forcément d’intellectuels …

    Je dirais que dans cette “nouvelle dimension” il y entre de l’absurde, du “non sens”, et cela, c’est très déroutant… Peut-être que la violence actuelle de la société dans la vie au quotidien telle que l’on la vit, y est pour quelque chose…

     

     

    Ce qu’il y a de sûr, c’est que ça dépasse complètement le rapport entre riches et pauvres, entre dominants et dominés (qui existe toujours), cela se situe au delà de l’idée de “droite et de gauche” (politiquement parlant), et que dans ce dépassement, plus personne ne s’y retrouve, du moins ceux et celles qui sont conscients de ce “dépassement”… Parce qu’en fait, et cela est patent, les “inconscients” semblent “entrer dans ce monde là, nouveau, comme si cela coulait de source”, sans se poser la moindre question… Ils entrent, en somme, dans ce monde là, en “consommateurs”…

     

    Il est certain que la violence actuelle de la société en général, “y est pour quelque chose” dans la nouvelle dimension du monde d’aujourd’hui…

    Parce que la violence actuelle est, bien plus qu’avant ( avant le 21 ème siècle) une violence individuelle (individualisée)…

     

    Avant, en effet, la violence était plus une violence collective qu’une violence individuelle, notamment lors de révoltes ou de combat contre des dominants… Et lorsque la violence était individuelle, elle l’était surtout, par nécessité, pour survivre dans des conditions de vie difficile, ou par ce qui procédait de la loi du plus fort (en tant que loi naturelle n’étant pas forcément “injuste” mais plutôt “dans l’ordre des choses”…

     

    C’est la nature de la violence individuelle qui a changé : elle se “conjugue” désormais sur fond de développement personnel au détriment des autres, sur fond de construction des acquits et de la sauvegarde des acquits, sur fond de consommation accrue notamment de loisirs et d’objets technologiques, sur fond d’impatience, de hâte à profiter… Tout cela générant de la violence… Une violence de crispations, de préjugés, de discrimination, de revendication de droits n’ayant pas forcément quelque chose à voir avec le droit dans le sens de droits humains…

     

    Il y a aussi, bien sûr, le délitement, la décomposition de la société par la perte ou par le déni des valeurs, par la déconsidération des fonctions dites “régaliennes” de l’état et de l’ordre social, par l’irrespect manifesté à l’égard des personnes dépositaires de l’ordre public (pourtant démocratiquement élues)… Ce qui a déjà existé par le passé, plusieurs fois, lors du déclin des grands empires et des grandes civilisations dans l’Histoire… Mais cette fois ci, en cette première moitié du 21 ème siècle, le “séisme sociétal et civilisationnel” est d’autant plus violent et nouveau par rapport à ce qui a été jusqu’alors vécu, qu’il est, en plus de la violence individualisée qui s’est transformée et diversifiée ; accompagné d’une évolution de la technologie (internet, numérique, informatique, domotique, robotique, biotechnologique) …

    Et cela semble “irréversible”…

     

     

  • Les réfractaires au vaccin covid

    … À combien de personnes peut-on évaluer, en France, les réfractaires au vaccin covid ? Ou, combien sont-ils, et surtout combien seront-ils , lorsque la vaccination aura été faite d’un maximum de personnes en France ? Mettons entre 70 et 90% de la population ?

    Sans doute à peu près “quelques centaines de milliers” de Français… Ce qui, s’il y en aurait 500 000, concernerait 1 Français sur 130.

    Difficile à évaluer, en fait…

    Je vais plutôt partir sur une base d’un million de réfractaires ou d’ “anti vacin”… Donc sur 1 Français sur 68… Lequel 1 Français sur 68 peut-être ton voisin, une connaissance, et même un ami, quelqu’un de ta famille…

    La question que je pose est la suivante :

    En tant que “citoyen responsable “ (de la santé et de la protection de son prochain), citoyen vacciné 2 doses pour être précis, faudra-t-il “par précaution citoyenne”, par souci de l’autre, pour lui éviter de “choper le covid” – si l’on est soi-même tout à fait occasionnellement porteur du virus pendant quelques jours, continuer à se conformer aux gestes barrière, à tout ce que l’on a connu depuis plus d’un an, presque deux ans, continuer à porter le masque ; à cause de ces 1 Français sur 68 ( un million de personnes) “réfractaires” au vaccin covid ? … Qui, s’ils le chopaient, le covid, n’en seraient affectés au pire, que comme pour une “mauvaise grippe”…

    Serait-ce considéré comme un “manque de civisme et d’absence de responsabilité ?” J’entends déjà les “donneurs de leçons de morale citoyenne”, scandalisés à l’idée que l’on puisse poser la question que je pose!

    Je ne suis pas – et je ne l’ai jamais été – “pour la brebis égarée (en fait plus emmerdeuse qu’égarée) qu’il faut sauver au risque de “pourrir la vie” au reste du troupeau !

    J’entends déjà les “qui diront” : en disant cela tu perds ton humanité (réflexion inacceptable à recevoir soit dit en passant, pour quelqu’un qui a justement “de la dimension humaine, de la bonté, du souci réel des autres”) … Mais qui, en même temps est un “grand réaliste” et a “une grande logique difficile à remettre en cause” !

    Bon c’est vrai : la “charité chrétienne” (ou musulmane non fondamentaliste radicale) ainsi d’ailleurs que la “bonne vieille traditionnelle morale consensuelle” ne vont trop guère dans le sens de la logique, de la nature, du fonctionnement des choses de l’univers – tout cela ne faisant pas dans la dentelle mais étant néanmoins la vraie vérité éternelle intemporelle !

     

     

  • Pour être clair et net !

    … Avec et dans la vie quotidienne qui s’amorce depuis le 9 juin, rapport au covid… (pour ma part)…

     

    Les cinémas NON… 2h avec le masque à respirer sa propre haleine, plus (si c’est un film qui m’intéresserait) rien comprendre aux dialogues – ce qui est le cas pour une majorité de films d’aujourd’hui depuis déjà plusieurs années- donner 9 euro la place dans ces conditions là… NON ! Sauf si c’est un film en VO sous titres français, et encore, pas trop long (1h 45 max)…

     

    Les musées, les médiathèques OUI, à condition de pouvoir dans une durée de 3h ou d’une demi journée, sortir une ou deux fois un quart d’heure dehors pour enlever le masque, se faire une clope ou une vape, tranquille, à l’air, un quart d’heure… Dans les médiathèques c’est possible, mais dans les musées c’est à voir (il faudrait qu’ils autorisent des sorties d’un quart d’heure)…

     

    Les restaurants et les cafés OUI mais en terrasse seulement… Parce qu’à l’intérieur si c’est pour remettre le masque chaque fois que tu te lèves le cul, non… (Si c’est pas entre les plats en attendant)…

     

    Les marchés par exemple celui de la ville, en extérieur, dans la région où je vis, j’attends qu’on soit plus obligé de porter le masque pour m’y rendre (peut -être en juillet ?)

    Les hôtels, les chambres d’hôtes, OUI, là je veux bien faire l’effort de m’adapter en fonction des dispositions en cours…

     

    Les trains, les avions NON sauf obligation absolue, exceptionnelle due à un événement grave.

    3 ou 4 h heures porter le masque respirer sa propre haleine, dans un TGV, ou pire, 10/12 heures en avion sans compter les 2 h d’avant l’embarquement plus le transport jusqu’à l’aéroport, NON ! L’horreur!

     

     

  • La famille ne peut être détruite

    … La famille peut se déliter, se décomposer, se fracturer, se recomposer, s’élargir ou au contraire se réduire, se transformer, évoluer… Mais elle ne se détruit pas sauf si toutes les personnes dont elle est faite disparaissent dans un accident, un cataclysme, une épidémie… Elle ne se détruit pas, parce que, quoi qu’il arrive, il reste toujours quelque chose de ce qu’elle est depuis qu’elle a commencé à se former, et en dépit des événements qui l’ont transformée, réduite, fracturée, décomposée ou recomposée…

    Et ce qui ne peut qu’encore moins se détruire, de la famille, c’est cette part d’elle même qui n’est pas visible, et qui d’ailleurs demeurera toujours invisible, dont personne ne peut faire une lecture exacte, pas même l’une ou l’autre des personnes faisant partie de la famille, et dont les liens qui unissent les personnes de la famille, n’en sont pas moins réels, même si les liens sont incertains ou fragiles…

     

     

  • Toute forme de violence est, certes, inacceptable, mais ...

    … Toute violence est inacceptable, certes…

     

    Mais certaines, de ces violences, qui sont ou seraient celles d’agressés contre des agresseurs, et qui, si elles pouvaient se faire, mettraient l’agresseur à terre… Justement et hélas, ne peuvent se faire…

    Parce que l’agresseur alors, agit dans une totale impunité, impossible à interpeler qu’il est… Je pense en l’occurrence, à un automobiliste qui en agresse un autre, d’un coup de klaxon rageur : l’agressé ne peut au mieux que lui faire un bras d’honneur, ou répondre par un flash de ses phares… Il ne peut en effet, lui passer devant, lui barrer la route, descendre de sa voiture, et, muni d’une matraque, péter sa vitre, péter sa gueule d’enfoiré ! (les conditions de circulation en ville ne permettent en général pas, une “vengeance immédiate réactive”)… Si toutefois cela arrive un jour, cette possibilité de répondre à l’agresseur (un automobiliste klaxonnant rageusement), il ne faudra pas s’étonner que “ça fasse très mal” ! Et y’aura pas à en faire un fromage, d’une affaire pareille ! Ce n’est pas ce genre de violence qui est scandaleux ! L’agressé doit pouvoir agresser, mettre son agresseur à terre !

    Mettre un agresseur à terre, et même dans l’éventualité où il ne peut pas se relever, c’est aussi, d’une certaine manière, exprimer la violence que l’on sent en soi contre cette société de violence ! En somme, cet agresseur agressé, il paye pour tous les autres agresseurs ! Un agresseur agressé n’est jamais une victime, mais une “ordure au tapis” !