Articles de yugcib

  • Ma pomme

    Ma pomme

    … Cette photo date de 2011…

    L’on ne peut pas dire, qu’en onze ans, en l’occurrence (rire) « en l’An de Grâce 2022 », j’ai « beaucoup changé » …

    Cela dit, sur le « mur où tout le monde ou presque raconte sa vie ou fait sa story »… Vous ne verrez jamais d’autres photos, de visages, de personnes vus de près… Que, à l’occasion c’est à dire seulement de temps à autre dans un contexte particulier (anecdotique) de … « Ma pomme » …

    Et, « par honnêteté » (si je puis dire) « si Dieu me prête vie » (rire) assez longtemps encore, je changerai la photo de mon profil… Dans onze ans…

     

     

  • Vacances à la mer

    Vacances a la mer

    … Si « ça s’ra ça » les vacances à la mer en été 2022 – c’était déjà ça avant le covid sur la côte d’Azur - …

    Avec le prix du pain bagnat (saucisse dedans) passé de 2,20 euro en 2002 à 5,50 euro (le même) en 2022 ; la glace « biboule » à 4,50 euro ; l’essence à 2,40 euro le litre ; le péage autoroute Vinci à 60 euro pour 400 km ; la nuitée Formule 1 à 45 euro (c’était encore 29 en 2019) ; une place de camping bagnole plus tente à 25 euro… Et la moindre location mobil home 8 mètres carrés à 700 euro la semaine…

    Plus les embouteillages sur la quatre voies menant sur 10 km à la grand’plage grand standing tourisme de masse, plus encore le Toro Piscine du Coin à 20 euro adulte/12 euro moins de 12 ans…

     

    Enfin sans le masque…

     

    Et les soirées disco tortillage de cul drague et shoute et musique battement de cœur de pieuvre…

    Banane sur le ventre bermuda à fleurs et grand panama sur le crâne torse à poil…

    Ces dames et demoiselles et mémés relookées lunettes de soleil dans les cheveux le long de la promenade du front de mer…

     

    Oui si « ça s’ra ça » les vacances à la mer en 2022 à Capbreton, à Hossegor, à Biscarrosse ou à Royan ou à La Baule…

     

    « c’est pas ça qui m’fait rêver » !

     

     

  • Un chemin

    … Peut – on encore ouvrir un chemin dans n’importe quel désordre du monde ? …

    Pour autant que l’on ait pu, avant aujourd’hui, ouvrir un chemin dans des désordres à la fois différents et semblables à ceux d’aujourd’hui ? …

    Oui, des chemins ont été ouverts…

    Et il s’en ouvre encore.

    Oui, ces chemins sont suivis par plus de gens que l’on ne le croit…

    Mais les désordres sont toujours là et se sont multipliés, amplifiés, et ont mis la Terre la tête à l’envers…

    La Terre, un drôle de bonhomme…

    Et, dans la chevelure de lumière enroulée comme une écharpe autour d’un amas d’étoiles, c’est le seul drôle de bonhomme, cette Terre…

     

  • Mouvements et partis

    … Les mouvements ont remplacé les partis…

    C’est bien là, l’une des caractéristiques de l’époque en laquelle on vit, où l’on ne croit plus en rien, où les repères ont disparu, laissant la place à des enseignes, à de grands panneaux publicitaires, à des mobiliers urbains aux normes internationales…

    Et, outre les enseignes et les panneaux publicitaires, les repères sont aussi des rumeurs, toutes les rumeurs du monde, et les nuisances médiatiques véhiculées le long de toutes les voies de passage fréquentées…

    Quand on vote pour Emmanuel Macron, pour Marine Le Pen, pour Éric Zemmour, pour Jean Luc Mélenchon… On ne vote pas pour la République en Marche, pour le Rassemblement National, pour la France Insoumise, pour la Reconquête… On ne vote même plus pour un mouvement…

    On vote – quand on vote… - par défaut, par adhésion (souvent tacite) à un « ordre du monde », à un « consensus de pensée », ou on vote « pour mais à vrai dire contre qui on ne veut pas voir arriver »…

    Ou on vote aussi, influencé que l’on est par ce que l’on entend autour de soi ; et en fonction de la situation où l’on se trouve personnellement, souvent difficile et que peut-être tel choix de vote changera quelque peu en mieux…

     

     

  • Une ville où tu habites ...

    … Une ville où l’on habite, en quelque région que ce soit en France…

    Où l’on vote pour Marine Le Pen au premier tour d’une élection présidentielle

    Où l’on vole des fleurs au cimetière,

    Où l’on se fait « klaxomerder » dans un rond point

    Où « ça se lit pas sur ton visage qui tu es » quand tu achètes ton pain ou ton journal

    Où personne parmi tes connaissances ne te pose la moindre question sur ce que tu fais et aimes dans la vie

    Où tu ne fais jamais cinquante pas sans voir par terre un masque

    Où les gens déposent leurs déchets, les objets dont ils se débarrassent à côté des containers poubelle

    Où dès qu’un méfait est commis, un vol, un cambriolage, l’on te dit « ce sont des gitans – ou toute sorte d’indésirable venu d’ailleurs – qui ont fait le coup »

    Où tu ne connais absolument aucun de tes voisins demeurant dans le même lotissement que toi

    Où les gens dans les lotissements ont des portails hyper balaises à code et caméra

    Où tu ne vois plus personne dehors après 19h même en été quand la nuit vient tard,

    Où t’es quasiment obligé de regarder par terre pour éviter de marcher sur une merde de chien

    … Cette ville, tu ne peux guère trop la « porter dans ton cœur »…

     

     

  • L'astronef imaginaire

    … Un astronef imaginaire se pose devant moi, le matin, lorsque j’ouvre la porte d’entrée de ma maison, près d'un massif de fleurs, dans mon jardin…

    Cet astronef imaginaire n’ouvre pas ses portes en grand cependant. Je ne sais rien des éventuels « cosmonautes » qui pourraient venir d’un autre monde, à bord de cet « autobus de l’espace ».

    Seraient-ils, ces « gens », porteurs de quelque message, viendraient-ils d’un monde meilleur que la Terre ? Je n’en sais rien.

    Dans un tout premier mouvement je fonce droit vers l’ astronef, apercevant une sorte d’ échelle de corde jaillie d’une ouverture…

    Et c’est tout un ailleurs inconnu qui me vient à l’esprit, un autre paysage que celui que je vois habituellement autour de ma maison…

    Et l’échelle de corde jaillie d’une ouverture dans le flanc de l’astronef, apparaît telle un petit bout de chemin suspendu…

    Il ne me vient pas l’idée d’une destination à la vue de ce grand oiseau debout bec tendu vers le ciel.

    Et, d’une voix à peine audible, pour quel interlocuteur je n’en sais rien , je dis : « je quitte la Terre, je laisse derrière moi toutes les indifférences, tous les mépris, toutes les clameurs, toutes les rumeurs, toutes les humeurs et agitations et violences du monde »...

    Mais saisissant l'échelle de corde jaillie de l'ouverture, je ne pose pas mon pied sur le premier degré de l'échelle...

    Un visage, des visages, un regard, des regards, viennent tout juste de tomber du ciel de la Terre...

    Alors je me tourne vers ces visages et vers ces regards, et les émerveillements qui, au-delà de mon enfance s’étaient décolorés, reprennent leurs couleurs…

     

     

  • Une mère

    ( Petite anecdote souvenir à l’occasion de la fête des mères)

     

     

    … S’il est bien une maman que j’ai connue dans mon enfance et dont je puis dire qu’elle prenait le couteau par la lame, tant elle était aussi experte que sensible, notamment dans les situations difficiles ; c’est Madame Félicie Figeac qui habitait à Cahors dans le Lot au 7 rue Paramelle, dans les années 1950…

    Une maîtresse femme, d’un réalisme que l’on pouvait qualifier de pur et dur, mais surtout empreint de gaîté et d’humour.

    Un réalisme associé à une grande générosité.

    Madame Félicie Figeac était la mère de sept enfants dont le plus jeune, Jean Claude, était mon copain de jeux, et ses deux sœurs, Jacqueline et Pierrette, mes petites fées ; les autres enfants de Madame Figeac, plus âgés, n’habitaient plus dans la maison.

    Les deux petites fées Jacqueline et Pierrette, toutes d’argile, semblaient façonnées par leur potière de mère.

    La fille aînée Paulette, cinquante ans plus tard, ne risquait pas de pleurer sa mère encore en vie – en 2008 – âgée alors de 89 ans et vieillissant, non pas en établissement pour personnes âgées, mais chez elle dans sa maison située derrière le cimetière.

    Paulette gardait encore un souvenir ému de l’anniversaire de ses vingt ans. À cette occasion Madame Félicie Figeac s’était surpassée, notamment en une période de vache maigre, en cuisinant une énorme carpe pêchée dans le Célé par monsieur Guy Figeac et par mon père, afin de recevoir à déjeuner, tous les membres de la famille.

     

     

     

  • L'école et la société

    … L’école progressiste de ces « barbarismes » que sont le « savoir de ceci de cela » dans un apprentissage en dehors de la classe et dans une pléthore de projets, de planifications et d’expériences «innovantes »… Et qui s’articule désormais et de plus en plus, sur la personnalisation, sur une diversification « éclatée » des savoirs (mais plus sur une transmission des savoirs)… Est à l’image de la société toute entière, de la fin du premier quart du 21ème siècle.

    La société actuelle en effet, fonctionne dans tous ses domaines, notamment celui du travail, celui de la relation à l’autre, celui de la famille, celui de toutes les activités humaines, celui de toutes les « façons de faire », des modes, des comportements… Sur le modèle de l’école progressiste.

    L’école et la société sont devenues « massivement inégalitaires », et cela même alors qu’elles se veulent, qu’elles se proclament, s’affichent, se revendiquent « égalitaires »… Mais « égalité » en fait – et de fait – s’apparente ou se confond avec « nivellement » (nivellement plutôt par le bas que par le milieu et encore moins le haut)…

    Cette école et cette société progressistes ne produisent plus que des « héros du jour » qui font tous chacun à leur façon « un carton sur Facebook, sur Instagram, sur les réseaux sociaux » ; ne produisent plus que des banalités montées et arrangées en événements…

    Une école et une société de « likes »…

    Et de « manoufs », de criailleries, de haines, de violences, de négations, de « mal être », de contre – façons, de lapins sortis de chapeaux…

    Et d’œuvres étouffées dans l’œuf…

     

     

     

  • Amour, désamour

    … Peut – on se « désamourer » d’un pays, de ses gens, de ses paysages, comme l’on se « désamoure » d’un ami, d’un amant, d’une femme, d’une ou de plusieurs de ses connaissances que l’on a un temps apprécié ?

    A – t – on cependant été réellement amoureux de ce pays, de ses gens, de ses paysages, comme l’on a été amoureux d’un ami, d’un amant, d’une femme ?

    Parce que si l’on n’a jamais été – croyant l’être – amoureux de ce pays, de cet ami, de cet amant, de cette femme, l’on ne peut alors, se « désamourer »…

    Est – ce que « se désamourer » c’est – ou serait – voir ses émerveillements se décolorer ?

    Et, lorsque s’installe le désamour, que reste – t – il de notre capacité d’aimer encore et de nous émerveiller ? Pour un autre pays, d’autres gens, d’autres paysages ; pour un autre ami, pour une autre femme ?

    Dans le monde d’aujourd’hui tel que l’on y vit, mais surtout tel que l’on nous y fait vivre, ce sont les envies, ce sont les engouements, ce sont les attirances, ce sont les apparences, c’est ce que l’on à gagner sans devoir payer un prix élevé (pas forcément un prix en argent) qui fait que l’on aime…

    Et ce n’est plus, alors, du « désamour » qui s’installe – quand on n’aime plus …

    Et ce ne sont plus des émerveillements qui se décolorent (quand ils nous sont venus, ces émerveillements)…

    Puisque « aimer » c’est devenu « ennemourer » c’est à dire « aimer parce que... »

    Vous m’direz « on a toujours aimé parce que... » (Dans le monde d’avant, dans le monde présent)…

    Mais la différence entre « aimer parce que... » dans le monde d’avant et « aimer parce que... » dans le monde présent ; c’est que, dans le monde présent, le « parce que... », dans notre intériorité (ou notre moi ou « bulle ») s’est « métastasé »…

     

     

  • Canard boiteux

    Abad

    … « Excusez moi les copains » mais je vais être « un peu méchant » et « quelque peu contrevenir avec le fond véritable de ma pensée fondamentale humaniste, généreuse et tout ce qu’on voudra » (rire…

    En ce qui concerne l’affaire d’accusation de viol dont fait l’objet le nouveau ministre des solidarités du Gouvernement d’Élisabeth Borne, en l’occurrence Damien Abad dont vous voyez ici la photo de « canard boiteux » s’apprêtant à franchir la porte… J’ai envie de dire ceci :

    Quand on est handicapé, oui c’est vrai et cela doit être encore plus vrai dans le monde d’aujourd’hui (qui est « un peu plus juste si l’on veut » avec les personnes handicapées, que par exemple aux siècles précédents du 19ème et avant)… L’on doit « avoir sa chance » comme toute personne non handicapée »… Et il est donc heureux qu’une personne handicapée « parfaitement capable » d’occuper une fonction dans une équipe gouvernementale, soit justement choisie pour faire partie de cette équipe gouvernementale…

    Cependant… Cependant… Et c’est là où je veux en venir, « un peu méchant » que je suis en l’occurrence « à mon corps défendant » (re rire) : lorsque l’on est une personne handicapée et qui plus est d’un handicap « assez gênant » question apparence physique, démarche ; l’on se doit (peut être?) d’être « quelqu’un d’irréprochable » sur le plan comportemental avec les personnes du sexe opposé (notamment un homme à l’égard d’une femme)…

    Car « comme par hasard » (un hasard malsain peut-on dire), un type à la démarche de canard boiteux qui est suspecté de viol ou d’abus sexuel, eh bien sa démarche de canard boiteux elle se remarque davantage… et, « ça choque plus » et on a envie de se moquer de cette personne qui se dandine en avançant comme un canard boiteux.

    Je sais, « c’est un peu cruel » de dire ça… Mais bon…

     

     

  • Cacophonie

    … Les puissances médiatiques, presse et audiovisuel, chargent de leurs liquides viciés, l’eau de tous les pleurs, et répercutent en longs échos désaccordés, de leurs murailles rocheuses proches ou lointaines, les rires, les allégresses, les plaintes, les cris, les murmures, les grondements… Et toutes les voix du monde…

    Quelle cacophonie !

     

     

  • L'eau et l'huile ne peuvent former ensemble agitées, qu'un précipité, non une solution

    … Ce que l’on appelle « islamo gauchisme » (je n’adhère pas à ce terme) ressemble – ou s’apparente – en essayant de l’expliquer par une image – à un « précipité » c’est à dire un « mélange qui n’en est pas vraiment un) d’eau et d’huile, donc de deux produits liquides ne pouvant s’amalgamer en une seule « solution »…

    En effet, si l’on agite ou remue, d’autant plus fort, avec d’autant plus de vigueur, dans le verre ou dans la bouteille, l’eau et l’huile, chacune en une certaine quantité – pas forcément égale – l’on obtient, non pas une « solution » car l’eau et l’huile ne sont pas solubles, ne se fondent pas en un seul liquide différent fait de deux composants, mais un « précipité » dans lequel par agitation l’huile s’est émulsifiée en très fines gouttelettes, de sorte que l’on ne voit qu’un seul liquide d’une couleur différente (jaune lavasse)…

    Et dès lors que l’on laisse reposer – sans plus agiter – les gouttelettes d’huile se rassemblent, et l’huile, plus légère que l’eau, se place en surface dans le verre ou en haut dans la bouteille.

    Donc, l’islamo gauchisme est un « précipité », non une « solution »…

     

    De même, l’Islam et l’islamisme sont comme l’eau et l’huile, et aussi, toutes les religions, chrétienne et judaïque entre autres, et leur « en isme »…

    Lorsque l’islamisme et le christianisme s’invitent dans la politique, dans la Cité, dans l’État, se liant ou s’immisçant à « quelque chose de politique en isme » par exemple le gauchisme, cela ne fait jamais du bien à la société, cela génère des tensions, des crispations, des communautarismes, des séparatismes…

     

    La religion – les religions – sans leur(s) « religion en isme », c’est à dire la religion - les religions – à l’état brut en tant que croyance, foi partagée par leurs fidèles… C’est comme un prisme dont les facettes sont multiples, le prisme étant UN et dont chaque facette reflète la lumière – mais la lumière reflétée par la facette est celle qui est réfléchie en fonction de l’orientation de la facette et non pas du prisme tout entier par toutes ses facettes à la fois…

     

    La religion – les religions – avec leur(s) « religion en isme » sont des visions de la société se fondant sur des textes, des écrits tels que la Bible ou le Coran, sur des règles, des rites, des prescriptions, qui, notamment pour l’Islam ou pour le Catholicisme « pur et dur » , sont censés tous ces textes et prescriptions, être « la loi au dessus ou delà de la loi des hommes, des gouvernements, des états »…

     

     

  • Le racialisme

    … Le racialisme est un courant de pensée pseudo scientifique prétendant expliquer des phénomènes sociaux liés à des différences ethniques, culturelles et de mode de vie.

     

    C’est aussi une doctrine qui affirme – sans cependant le déclarer officiellement – l’existence de « races humaines » différenciées, et non une espèce humaine unique - ce qui est vrai (une unique espèce humaine) - puisqu’il n’y a sur Terre depuis 200 000 ans, qu’une seule espèce « Sapiens » originaire d’Afrique de l’Est ( Éthiopie) dont les premiers représentants avant leur départ d’Afrique étaient tous noirs ou foncés de peau (les migrations vers des régions de la planète de climats moins ensoleillés, de latitude moyenne ou septentrionale ayant impliqué des changements de pigmentation de l’épiderme, et donc, des humains qui sont peu à peu devenus blancs ou clairs de peau, ou cuivrés, ou jaunâtres, ou halés selon la région d’installation, et cela en plusieurs générations d’humains, sur des milliers d’années).

     

    Il n’y a donc pas, scientifiquement et réellement, de « races » chez les Humains… Comme pour les chiens, les ânes, les chevaux, les bovins, les ovins par exemple… (D’ailleurs les « races » pour les chiens notamment, ont été créées par l’Homme dans des élevages, par des croisements, et de même pour les autres animaux domestiques)…

     

    S’il n’y a donc pas de races chez les humains, alors le mot (ou terme ou vocable) « race » devrait être retiré du dictionnaire (je dis bien « devrait ») parce qu’en réalité pour les animaux les races existent (même si elles ont été assez souvent créées par l’Homme dans l’élevage des animaux domestiques à des fins spécifiques).

     

    Quoiqu’il en soit, que l’on supprime le mot « race » des dictionnaires, ou qu’on le maintienne à cause des races d’animaux ; le fait de le radier, ce mot « race » du dictionnaire si on le fait dans l’idée de bannir l’idée de race ; cela n’empêchera jamais qu’il soit utilisé comme bien des gens l’utilisent aujourd’hui dans le sens « raciste » du terme, de manière péjorative, discriminatoire…

     

    En fait le « racialisme » est un concept « intellectuel » et il faut dire (je dis) « utilisé à toutes les sauces « arrangeantes et convenues ayant le vent en poupe et faisant référence »… Et, dans un tel contexte – de ces « sauces arrangeantes et convenues » ; il est « suspect » ce concept de « racialisme » (je n’y adhère pas du tout, je trouve qu’il pourrit, dénature ou pervertit la relation entre les gens, dans la mesure où il met en avant des différences ethniques, sociales, culturelles ; lesquelles différences générant forcément des situations conflictuelles, des polémiques épuisantes)…

     

  • La présomption d'innocence

    … La présomption d’innocence n’est qu’une disposition de justice, autrement dit un principe (un principe de fonctionnement de la justice – à mon avis en accord avec « une pensée républicaine »).

    Mais la présomption d’innocence n’empêche en aucune façon la suspicion de la faute, n’empêche pas non plus les langues de se délier, les préjugés de s’établir, la calomnie de se répandre, les médias d’information (presse et audiovisuel) de « prendre parti dans un sens ou dans un autre -souvent afin de discréditer »…

    La présomption d’innocence c’est toujours gênant pour celui ou celle qui en bénéficie. Car le doute subsiste.

    La présomption d’innocence ne « lave pas ». Dans l’esprit des gens en général, en relation de près ou de loin avec celui ou celle qui est incriminé, suspecté, mais qui bénéficie de la présomption d’innocence, la faute est « quasi évidente » aussi peu fondée sur des faits ou sur des preuves qu’elle soit.

    C’est donc « comme si »…

    Et ça pue, ça fait mal, ça court, ça vole de part en part, ça influence, ça s’incruste.

     

     

  • Le profil d'un "en symbiose avec le monde d'aujourd'hui "

    … C’est un homme ou une femme d’environ 30 à 40 ans d’âge en bonne santé donc n’ayant aucun handicap physique ou intellectuel.

    Il, elle est :

    Relativement aisé – sans forcément être « riche à crever » - disposant d’un revenu mensuel de l’ordre de 2500 à 3000 euro mensuel.

    Cadre, ou agent de maîtrise, professionnel ayant eu une formation spécifique.

    D’un niveau universitaire au moins BAC plus 3 ou 4.

    Demeurant dans un appartement en ville (en résidence) ou dans une maison en « zone rurale urbanisée » (en lotissement ou périphérie de bourg bien pourvu en commerces et services). Appartement ou maison dont il ou elle est propriétaire assez souvent, maison avec garage pour 2 voitures, portail doté de dispositif de fermeture automatique.

    Un chien en général « de bonne taille » et « montant la garde » dans le terrain clôturé autour de la maison. (Mais en fait, 1 habitant sur 2 en moyenne, en zone rurale urbanisée, pour le chien).

    La façade (et l’apparence de sa maison) « en jette quelque peu » et parfois, l’architecture (ultra moderne) de sa maison « dénote » avec le paysage (forme « tarabiscotée » ou cubique, géométrique, toiture terrasse…)

    Disposant de 2 voitures, une pour lui, une pour son conjoint car lui et elle travaillent, en général en deux lieux différents situés à 30/40 km de leur maison. (« On va dire » que par exemple l’une de ces 2 voitures est un « Dacia Duster » 17 000 euro neuf).

    Touriste ( en vacances estivales) une fois par an dans un pays tropical prisé (Seychelles, Bahamas, Thaïlande, Bali Indonésie- par exemple). Ou effectuant une croisière en Méditerranée.

    Touriste également, en « petites vacances scolaires et ponts de jours fériés » en quelque endroit de France « prisé », en chambre d’hôtes, location à la semaine (pas en camping).

    Très à l’aise avec les nouvelles technologies internet smartphone GPS domotique numérique informatique.

    Lisant (quand et si il ou elle lit) les derniers best - sellers » sortis, en général achetés au rayon multimédia d’une grande surface… Ou commandés en « livre papier » ou en « numérique » pour liseuse ou smartphone, sur Amazon.

    Regardant « The Voice » le samedi soir sur TF1 (ou une série TV ou une émission de variétés et à 23h l’émission « talk show » de Laurent Ruquier).

    Ne vote pas pour Jean Luc Mélenchon ni pour Marine Le Pen ( « quoique »…), votait « jadis » pour le PS (et en tant que parisien pour Anne Hidalgo) et vote à présent pour le LREM.

    A son vieux/vieux père ou sa vieille/vielle mère handicapée en situation de dépendance ou Alzheimer (de plus de 90 ans en général) en EHPAD ou « Village ».

    Très à l’aise en circulation automobile en zone urbaine et péri urbaine, en stationnement difficile, maîtrisant à fond la technique GPS (GPS intégré au tableau de bord).

    Très à l’aise avec les montages d’équipements mobiliers en « KIT » (n’a même pas besoin du mode d’emploi, a compris tout de suite).

    En fait très à l’aise partout et en tout, très sûr de lui, et très critique il faut dire, à l’égard de celui ou celle qui « ne comprend pas très bien, ne pas trop comment faire ».

    Souvent « assez individualiste » dans ses comportements et dans ses choix en tant que consommateur moyen relativement aisé.

    Est parfois un  spécialiste du coup de klaxon rageur dans les rond – points.

     

    … Bon, j’arrête là mon profil (certes « imaginaire » mais il faut dire « correspondant bien à une certaine réalité dans notre pays, la France rurale urbanisée et citadine)…

     

    Certains – s’ils lisent ça – (rire) se reconnaîtront peut-être, du moins en partie…

     

    Ma conclusion est la suivante :

     

    Pour celui ou celle qui n’est pas du tout dans ce profil là, et qui, d’autant plus s’en éloigne (notamment sur les questions des nouvelles technologies internet smartphone GPS numérique procédures en ligne ; mais aussi sur les questions de modes d’emploi et d’usage d’appareils spécifiques nouveaux, de circulation automobile en ville et « bien d’autres choses »)… Et qui de surcroît n’est pas en bonne santé, doit suivre un traitement médical long, est handicapé… Qu’il soit d’ailleurs âgé de 20 ans ou de 40 ou de 60 ans, donc pas forcément un vieux de plus de 85 ans… Eh bien le monde d’aujourd’hui disons le tout net c’est un enfer !